L'Espion qui sauva Moscou. L'affaire Sorge racontée par un témoin
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- Nombre de pages190
- FormatePub
- ISBN2-02-126662-1
- EAN9782021266627
- Date de parution01/01/1981
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille51 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
Le 21 juin 1941, l'Allemagne nazie attaque l'URSS. Staline en a été prévenu par l'un des plus grands espions du siècle, Richard Sorge, officiellement journaliste allemand à Tokyo. En décembre de la même année, l'armée allemande échoue devant Moscou. Si l'Armée rouge a pu concentrer ses forces pour la contre-attaque, c'est que Richard Sorge a donné à Staline l'assurance que le Japon, pourtant allié d'Hitler, n'attaquerait pas en Extrême-Orient soviétique.
L'auteur de ce livre partage un point commun et un seul avec Staline : lui aussi connaissait à l'avance les informations qui décidèrent du sort de la guerre. Directeur du bureau de l'agence Havas de Tokyo, il avait pour adjoint et ami un journaliste yougoslave, Branko de Voukelitch, qui était aussi, secrètement, le lieutenant de Sorge : aussi bénéficia-t-il de fuites calculées en provenance du maître-espion.
L'enlisement de la guerre en Chine, les hésitations du Japon entre la marche au nord contre la Russie et la marche au sud contre l'Asie anglo-franco-hollandaise, les tentatives de rapprochement avec les États-Unis puis la montée inéluctable de la guerre, les luttes autour de l'empereur entre les partisans de l'axe Berlin-Rome et les amis des démocraties occidentales, les préparatifs de l'attaque allemande en Russie : autant d'événements majeurs dont Robert Guillain fut informé presque au jour le jour.
Document de première main sur un des chapitres les plus passionnants de l'histoire récente, ce livre est aussi le témoignage d'une amitié interrompue par la mort, dans les prisons japonaises, du journaliste yougoslave et de son second patron, l'espion qui sauva Moscou.
L'auteur de ce livre partage un point commun et un seul avec Staline : lui aussi connaissait à l'avance les informations qui décidèrent du sort de la guerre. Directeur du bureau de l'agence Havas de Tokyo, il avait pour adjoint et ami un journaliste yougoslave, Branko de Voukelitch, qui était aussi, secrètement, le lieutenant de Sorge : aussi bénéficia-t-il de fuites calculées en provenance du maître-espion.
L'enlisement de la guerre en Chine, les hésitations du Japon entre la marche au nord contre la Russie et la marche au sud contre l'Asie anglo-franco-hollandaise, les tentatives de rapprochement avec les États-Unis puis la montée inéluctable de la guerre, les luttes autour de l'empereur entre les partisans de l'axe Berlin-Rome et les amis des démocraties occidentales, les préparatifs de l'attaque allemande en Russie : autant d'événements majeurs dont Robert Guillain fut informé presque au jour le jour.
Document de première main sur un des chapitres les plus passionnants de l'histoire récente, ce livre est aussi le témoignage d'une amitié interrompue par la mort, dans les prisons japonaises, du journaliste yougoslave et de son second patron, l'espion qui sauva Moscou.
Le 21 juin 1941, l'Allemagne nazie attaque l'URSS. Staline en a été prévenu par l'un des plus grands espions du siècle, Richard Sorge, officiellement journaliste allemand à Tokyo. En décembre de la même année, l'armée allemande échoue devant Moscou. Si l'Armée rouge a pu concentrer ses forces pour la contre-attaque, c'est que Richard Sorge a donné à Staline l'assurance que le Japon, pourtant allié d'Hitler, n'attaquerait pas en Extrême-Orient soviétique.
L'auteur de ce livre partage un point commun et un seul avec Staline : lui aussi connaissait à l'avance les informations qui décidèrent du sort de la guerre. Directeur du bureau de l'agence Havas de Tokyo, il avait pour adjoint et ami un journaliste yougoslave, Branko de Voukelitch, qui était aussi, secrètement, le lieutenant de Sorge : aussi bénéficia-t-il de fuites calculées en provenance du maître-espion.
L'enlisement de la guerre en Chine, les hésitations du Japon entre la marche au nord contre la Russie et la marche au sud contre l'Asie anglo-franco-hollandaise, les tentatives de rapprochement avec les États-Unis puis la montée inéluctable de la guerre, les luttes autour de l'empereur entre les partisans de l'axe Berlin-Rome et les amis des démocraties occidentales, les préparatifs de l'attaque allemande en Russie : autant d'événements majeurs dont Robert Guillain fut informé presque au jour le jour.
Document de première main sur un des chapitres les plus passionnants de l'histoire récente, ce livre est aussi le témoignage d'une amitié interrompue par la mort, dans les prisons japonaises, du journaliste yougoslave et de son second patron, l'espion qui sauva Moscou.
L'auteur de ce livre partage un point commun et un seul avec Staline : lui aussi connaissait à l'avance les informations qui décidèrent du sort de la guerre. Directeur du bureau de l'agence Havas de Tokyo, il avait pour adjoint et ami un journaliste yougoslave, Branko de Voukelitch, qui était aussi, secrètement, le lieutenant de Sorge : aussi bénéficia-t-il de fuites calculées en provenance du maître-espion.
L'enlisement de la guerre en Chine, les hésitations du Japon entre la marche au nord contre la Russie et la marche au sud contre l'Asie anglo-franco-hollandaise, les tentatives de rapprochement avec les États-Unis puis la montée inéluctable de la guerre, les luttes autour de l'empereur entre les partisans de l'axe Berlin-Rome et les amis des démocraties occidentales, les préparatifs de l'attaque allemande en Russie : autant d'événements majeurs dont Robert Guillain fut informé presque au jour le jour.
Document de première main sur un des chapitres les plus passionnants de l'histoire récente, ce livre est aussi le témoignage d'une amitié interrompue par la mort, dans les prisons japonaises, du journaliste yougoslave et de son second patron, l'espion qui sauva Moscou.