L'esclavage en Afrique précoloniale. 17 études présentés par Claude Meillassoux
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- Nombre de pages608
- FormatPDF
- ISBN2-348-03470-0
- EAN9782348034701
- Date de parution01/01/1975
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille146 Mo
- ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...
Résumé
La notion d'esclavage n'a pas acquis, à ce jour, un véritable statut théorique, susceptible de lever les incertitudes concernant la spécificité, sinon pour certains la réalité de cette institution en Afrique.
La publication de cet ouvrage a pour objet de contribuer à éclairer un domaine relativement négligé de l'anthropologie, afin de dégager la problématique qui permettrait à la fois de préciser la nature de l'esclavage en général, et de caractériser les modes de production de l'Afrique précoloniale.
Les 17 cas rapportés, sont le produit de recherches menées sur le terrain.
Ils contiennent une information riche, précise, souvent surprenante, d'où se dégagent une interrogation et une méthode. Quelle est la pertinence des critères, jusqu'alors proposés, pour caractériser l'esclavage ? S'agit-il d'un mode de production ? Les esclaves, en dépit de leurs différentes conditions, représentent-ils une classe sociale ? Existe-t-il une autre dimension à l'esclavage, qui permette d'en réconcilier les contradictions apparentes ? À ces interrogations, chaque contribution apporte des éléments de réponse, car chacune renvoie l'esclavage à l'histoire, d'une part, aux structures de la société où il se manifeste, d'autre part.
Deux grands chapitres transparaissent ainsi à travers ce livre : l'un consacré aux rapports de la société esclavagiste avec l'extérieur, l'autre à l'articulation de la relation esclavagiste avec l'ensemble des rapports sociaux qui régissent le système social. Ces deux chapitres ne sont jamais dissociés, car l'esclavage, qui trouve en définitive toujours sa source et sa finalité à l'extérieur, ne se réalise que par son insertion à l'intérieur de la société.
La recherche s'ouvre ainsi sur l'histoire économique et sociale à l'échelle régionale, cadre dans lequel se pose et se résout le problème critique de la reproduction esclavagiste sur lequel débouche l'ensemble des communications.
Ils contiennent une information riche, précise, souvent surprenante, d'où se dégagent une interrogation et une méthode. Quelle est la pertinence des critères, jusqu'alors proposés, pour caractériser l'esclavage ? S'agit-il d'un mode de production ? Les esclaves, en dépit de leurs différentes conditions, représentent-ils une classe sociale ? Existe-t-il une autre dimension à l'esclavage, qui permette d'en réconcilier les contradictions apparentes ? À ces interrogations, chaque contribution apporte des éléments de réponse, car chacune renvoie l'esclavage à l'histoire, d'une part, aux structures de la société où il se manifeste, d'autre part.
Deux grands chapitres transparaissent ainsi à travers ce livre : l'un consacré aux rapports de la société esclavagiste avec l'extérieur, l'autre à l'articulation de la relation esclavagiste avec l'ensemble des rapports sociaux qui régissent le système social. Ces deux chapitres ne sont jamais dissociés, car l'esclavage, qui trouve en définitive toujours sa source et sa finalité à l'extérieur, ne se réalise que par son insertion à l'intérieur de la société.
La recherche s'ouvre ainsi sur l'histoire économique et sociale à l'échelle régionale, cadre dans lequel se pose et se résout le problème critique de la reproduction esclavagiste sur lequel débouche l'ensemble des communications.
La notion d'esclavage n'a pas acquis, à ce jour, un véritable statut théorique, susceptible de lever les incertitudes concernant la spécificité, sinon pour certains la réalité de cette institution en Afrique.
La publication de cet ouvrage a pour objet de contribuer à éclairer un domaine relativement négligé de l'anthropologie, afin de dégager la problématique qui permettrait à la fois de préciser la nature de l'esclavage en général, et de caractériser les modes de production de l'Afrique précoloniale.
Les 17 cas rapportés, sont le produit de recherches menées sur le terrain.
Ils contiennent une information riche, précise, souvent surprenante, d'où se dégagent une interrogation et une méthode. Quelle est la pertinence des critères, jusqu'alors proposés, pour caractériser l'esclavage ? S'agit-il d'un mode de production ? Les esclaves, en dépit de leurs différentes conditions, représentent-ils une classe sociale ? Existe-t-il une autre dimension à l'esclavage, qui permette d'en réconcilier les contradictions apparentes ? À ces interrogations, chaque contribution apporte des éléments de réponse, car chacune renvoie l'esclavage à l'histoire, d'une part, aux structures de la société où il se manifeste, d'autre part.
Deux grands chapitres transparaissent ainsi à travers ce livre : l'un consacré aux rapports de la société esclavagiste avec l'extérieur, l'autre à l'articulation de la relation esclavagiste avec l'ensemble des rapports sociaux qui régissent le système social. Ces deux chapitres ne sont jamais dissociés, car l'esclavage, qui trouve en définitive toujours sa source et sa finalité à l'extérieur, ne se réalise que par son insertion à l'intérieur de la société.
La recherche s'ouvre ainsi sur l'histoire économique et sociale à l'échelle régionale, cadre dans lequel se pose et se résout le problème critique de la reproduction esclavagiste sur lequel débouche l'ensemble des communications.
Ils contiennent une information riche, précise, souvent surprenante, d'où se dégagent une interrogation et une méthode. Quelle est la pertinence des critères, jusqu'alors proposés, pour caractériser l'esclavage ? S'agit-il d'un mode de production ? Les esclaves, en dépit de leurs différentes conditions, représentent-ils une classe sociale ? Existe-t-il une autre dimension à l'esclavage, qui permette d'en réconcilier les contradictions apparentes ? À ces interrogations, chaque contribution apporte des éléments de réponse, car chacune renvoie l'esclavage à l'histoire, d'une part, aux structures de la société où il se manifeste, d'autre part.
Deux grands chapitres transparaissent ainsi à travers ce livre : l'un consacré aux rapports de la société esclavagiste avec l'extérieur, l'autre à l'articulation de la relation esclavagiste avec l'ensemble des rapports sociaux qui régissent le système social. Ces deux chapitres ne sont jamais dissociés, car l'esclavage, qui trouve en définitive toujours sa source et sa finalité à l'extérieur, ne se réalise que par son insertion à l'intérieur de la société.
La recherche s'ouvre ainsi sur l'histoire économique et sociale à l'échelle régionale, cadre dans lequel se pose et se résout le problème critique de la reproduction esclavagiste sur lequel débouche l'ensemble des communications.