L'Autogestion, c'est pas de la tarte !. Entretiens avec Jean-Marie Domenach
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- Nombre de pages240
- FormatePub
- ISBN2-02-125906-4
- EAN9782021259063
- Date de parution01/01/1978
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
Dans la montagne savoyarde, au début du siècle, la vie des paysans était dure. Marcel Mermoz raconte le travail, le froid, les bagarres familiales et l'instituteur qui lui donna la passion des livres. À quinze ans, Mermoz quitte son hameau pour Paris. Débardeur aux Halles, mitron, photographe, roulant en Beauce... et clochard. Il fréquente les cercles anarchistes, s'instruit avec Paul Rivet, Jean Guéhenno, Georges Friedmann.
Ouvrier dans l'aviation, il est arrêté en 1939 parce qu'il militait aussi au parti communiste. Enfermé au camp de Saint-Sulpice, il continue de lire et il rencontre Marcel Barbu dont le courage évangélique l'éblouit. Relâché en 1942, il rejoint Barbu à Valence pour prendre la responsabilité du maquis où s'est transportée la fameuse communauté de travail qui s'appellera Boimondau et témoignera, contre la concurrence capitaliste et la lassitude des hommes, de la vitalité de l'utopie.
Depuis lors, Marcel Mermoz a créé un foyer de travailleurs algériens où il continue de vivre en rêvant de voyages. Ce libertaire, devenu communautaire et chef d'entreprise, est resté un réfractaire : ses colères, ses ruptures et ses ferveurs fraternelles composent l'histoire d'un homme qui a poussé la logique de sa révolte jusqu'à l'abolition du salariat et l'autogestion généralisée.
Ouvrier dans l'aviation, il est arrêté en 1939 parce qu'il militait aussi au parti communiste. Enfermé au camp de Saint-Sulpice, il continue de lire et il rencontre Marcel Barbu dont le courage évangélique l'éblouit. Relâché en 1942, il rejoint Barbu à Valence pour prendre la responsabilité du maquis où s'est transportée la fameuse communauté de travail qui s'appellera Boimondau et témoignera, contre la concurrence capitaliste et la lassitude des hommes, de la vitalité de l'utopie.
Depuis lors, Marcel Mermoz a créé un foyer de travailleurs algériens où il continue de vivre en rêvant de voyages. Ce libertaire, devenu communautaire et chef d'entreprise, est resté un réfractaire : ses colères, ses ruptures et ses ferveurs fraternelles composent l'histoire d'un homme qui a poussé la logique de sa révolte jusqu'à l'abolition du salariat et l'autogestion généralisée.
Dans la montagne savoyarde, au début du siècle, la vie des paysans était dure. Marcel Mermoz raconte le travail, le froid, les bagarres familiales et l'instituteur qui lui donna la passion des livres. À quinze ans, Mermoz quitte son hameau pour Paris. Débardeur aux Halles, mitron, photographe, roulant en Beauce... et clochard. Il fréquente les cercles anarchistes, s'instruit avec Paul Rivet, Jean Guéhenno, Georges Friedmann.
Ouvrier dans l'aviation, il est arrêté en 1939 parce qu'il militait aussi au parti communiste. Enfermé au camp de Saint-Sulpice, il continue de lire et il rencontre Marcel Barbu dont le courage évangélique l'éblouit. Relâché en 1942, il rejoint Barbu à Valence pour prendre la responsabilité du maquis où s'est transportée la fameuse communauté de travail qui s'appellera Boimondau et témoignera, contre la concurrence capitaliste et la lassitude des hommes, de la vitalité de l'utopie.
Depuis lors, Marcel Mermoz a créé un foyer de travailleurs algériens où il continue de vivre en rêvant de voyages. Ce libertaire, devenu communautaire et chef d'entreprise, est resté un réfractaire : ses colères, ses ruptures et ses ferveurs fraternelles composent l'histoire d'un homme qui a poussé la logique de sa révolte jusqu'à l'abolition du salariat et l'autogestion généralisée.
Ouvrier dans l'aviation, il est arrêté en 1939 parce qu'il militait aussi au parti communiste. Enfermé au camp de Saint-Sulpice, il continue de lire et il rencontre Marcel Barbu dont le courage évangélique l'éblouit. Relâché en 1942, il rejoint Barbu à Valence pour prendre la responsabilité du maquis où s'est transportée la fameuse communauté de travail qui s'appellera Boimondau et témoignera, contre la concurrence capitaliste et la lassitude des hommes, de la vitalité de l'utopie.
Depuis lors, Marcel Mermoz a créé un foyer de travailleurs algériens où il continue de vivre en rêvant de voyages. Ce libertaire, devenu communautaire et chef d'entreprise, est resté un réfractaire : ses colères, ses ruptures et ses ferveurs fraternelles composent l'histoire d'un homme qui a poussé la logique de sa révolte jusqu'à l'abolition du salariat et l'autogestion généralisée.