L'accord F.L.N. - O.A.S.. Des négociations secrètes au cessez-le-feu
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- Nombre de pages294
- FormatPDF
- ISBN2-221-21027-1
- EAN9782221210277
- Date de parution01/01/1967
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille58 Mo
- ÉditeurRobert Laffont (réédition numérique FeniXX)
Résumé
Voici, révélée pour la première fois, l'histoire des négociations secrètes engagées entre l'O. A. S. et le F. L. N. durant les derniers mois de la présence française en Algérie. Rédacteur en chef du « Journal d'Alger », introduit dans tous les milieux, lié d'amitié avec les personnalités de tendances les plus opposées, nul n'était plus qualifié que Fernand Carréras pour écrire ce livre. Il a eu communication des minutes établies quotidiennement par l'ancien maire d'Alger, Jacques Chevallier ; il a suivi, jour après jour, les longues conversations menées par ce dernier avec les représentants du F.
L. N. - le président Farès, le docteur Mostefaï - et ceux de l'O. A. S. - Jean-Jacques Susini, le colonel Gardes... Il a eu en mains également les archives de l'O. A. S. Mais Fernand Carréras n'est pas seulement un témoin d'une objectivité parfaite, qui établit enfin la vérité sur un des épisodes les plus surprenants de la guerre d'Algérie. C'est aussi un « pied noir » qui a suivi, le cour serré, l'affrontement sanglant des deux communautés et qui a, lui aussi, participé un moment au grand rêve d'une Algérie réconciliée.
L. N. - le président Farès, le docteur Mostefaï - et ceux de l'O. A. S. - Jean-Jacques Susini, le colonel Gardes... Il a eu en mains également les archives de l'O. A. S. Mais Fernand Carréras n'est pas seulement un témoin d'une objectivité parfaite, qui établit enfin la vérité sur un des épisodes les plus surprenants de la guerre d'Algérie. C'est aussi un « pied noir » qui a suivi, le cour serré, l'affrontement sanglant des deux communautés et qui a, lui aussi, participé un moment au grand rêve d'une Algérie réconciliée.
Voici, révélée pour la première fois, l'histoire des négociations secrètes engagées entre l'O. A. S. et le F. L. N. durant les derniers mois de la présence française en Algérie. Rédacteur en chef du « Journal d'Alger », introduit dans tous les milieux, lié d'amitié avec les personnalités de tendances les plus opposées, nul n'était plus qualifié que Fernand Carréras pour écrire ce livre. Il a eu communication des minutes établies quotidiennement par l'ancien maire d'Alger, Jacques Chevallier ; il a suivi, jour après jour, les longues conversations menées par ce dernier avec les représentants du F.
L. N. - le président Farès, le docteur Mostefaï - et ceux de l'O. A. S. - Jean-Jacques Susini, le colonel Gardes... Il a eu en mains également les archives de l'O. A. S. Mais Fernand Carréras n'est pas seulement un témoin d'une objectivité parfaite, qui établit enfin la vérité sur un des épisodes les plus surprenants de la guerre d'Algérie. C'est aussi un « pied noir » qui a suivi, le cour serré, l'affrontement sanglant des deux communautés et qui a, lui aussi, participé un moment au grand rêve d'une Algérie réconciliée.
L. N. - le président Farès, le docteur Mostefaï - et ceux de l'O. A. S. - Jean-Jacques Susini, le colonel Gardes... Il a eu en mains également les archives de l'O. A. S. Mais Fernand Carréras n'est pas seulement un témoin d'une objectivité parfaite, qui établit enfin la vérité sur un des épisodes les plus surprenants de la guerre d'Algérie. C'est aussi un « pied noir » qui a suivi, le cour serré, l'affrontement sanglant des deux communautés et qui a, lui aussi, participé un moment au grand rêve d'une Algérie réconciliée.