Jeux, sports et divertissements au Moyen Âge et à l'Âge classique. Actes du 116e Congrès national des sociétés savantes, Section d'histoire médiévale et de philologie, Chambéry, 1991

Par : Alexandre-Bidon, Robert-Henri Bautier, Pierre Bony

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages322
  • FormatePub
  • ISBN2-402-24257-4
  • EAN9782402242578
  • Date de parution01/01/1993
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille103 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

Le présent volume reproduit dix-neuf communications présentées au 116e Congrès national des Sociétés savantes, à Chambéry en 1991. Un rapport introductif de J.-M. Mehl dresse un état des lieux historiographique et bibliographique. Deux études régionales suivent, qui visent à appréhender globalement, dans le temps et l'espace social, les jeux, fêtes et divertissements dans le Poitou (R. Favreau) et le Centre (R.
Germain) du Moyen Âge. La pratique du jeu, de hasard ou d'adresse, fait l'objet d'une deuxième section : pratique individuelle de rois, du Philippe Auguste adulte (R.-H. Bautier) au Louis XIII enfant (Th. Depaulis), sur lesquels la documentation, comptable ou médicale, permet de jeter une vive lumière ; pratique collective d'anonymes dont seules la violence, la criminalité et la répression judiciaire permettent de connaître les gestes et les motivations.
Beaucoup plus obscure, la pratique de ce que nous définissons aujourd'hui comme sport, voit converger des disciplines et des sources variées : lexicographie et histoire des idées lorsqu'il faut étudier la doctrine chez un Hugues de Saint-Victor (M. Lemoine) ; iconographie et archéologie lorsque l'historien recherche les traces les plus modestes des activités ludiques liées à l'hiver (D. Alexandre-Bidon) ou à l'eau (C.
Gouédo-Thomas) ; étude des textes normatifs réglementant la Compagnie des chevaliers tireurs de Chambéry (P. Chappaz). Les sources se font en général plus riches pour les fêtes et célébrations collectives : des courses de taureau (A. M. Rodrigues) aux réceptions obligées dans les villes (J.-P. Leguay), de l'art progressivement affiné de la basse-danse (C. Ingrassia) au périple du convoi funèbre de René II de Laval en 1533-1534 (P.
Bony) ; des fêtes de chevalerie bourguignonnes (J.-P. Jourdan) et angevines (Chr. de Mérindol) aux divertissements publics portugais (M. J. Palla) et savoyards (A. Mansau), se perçoit l'écho, aussi profond que divers, de mises en scène lourdes de sens.
Le présent volume reproduit dix-neuf communications présentées au 116e Congrès national des Sociétés savantes, à Chambéry en 1991. Un rapport introductif de J.-M. Mehl dresse un état des lieux historiographique et bibliographique. Deux études régionales suivent, qui visent à appréhender globalement, dans le temps et l'espace social, les jeux, fêtes et divertissements dans le Poitou (R. Favreau) et le Centre (R.
Germain) du Moyen Âge. La pratique du jeu, de hasard ou d'adresse, fait l'objet d'une deuxième section : pratique individuelle de rois, du Philippe Auguste adulte (R.-H. Bautier) au Louis XIII enfant (Th. Depaulis), sur lesquels la documentation, comptable ou médicale, permet de jeter une vive lumière ; pratique collective d'anonymes dont seules la violence, la criminalité et la répression judiciaire permettent de connaître les gestes et les motivations.
Beaucoup plus obscure, la pratique de ce que nous définissons aujourd'hui comme sport, voit converger des disciplines et des sources variées : lexicographie et histoire des idées lorsqu'il faut étudier la doctrine chez un Hugues de Saint-Victor (M. Lemoine) ; iconographie et archéologie lorsque l'historien recherche les traces les plus modestes des activités ludiques liées à l'hiver (D. Alexandre-Bidon) ou à l'eau (C.
Gouédo-Thomas) ; étude des textes normatifs réglementant la Compagnie des chevaliers tireurs de Chambéry (P. Chappaz). Les sources se font en général plus riches pour les fêtes et célébrations collectives : des courses de taureau (A. M. Rodrigues) aux réceptions obligées dans les villes (J.-P. Leguay), de l'art progressivement affiné de la basse-danse (C. Ingrassia) au périple du convoi funèbre de René II de Laval en 1533-1534 (P.
Bony) ; des fêtes de chevalerie bourguignonnes (J.-P. Jourdan) et angevines (Chr. de Mérindol) aux divertissements publics portugais (M. J. Palla) et savoyards (A. Mansau), se perçoit l'écho, aussi profond que divers, de mises en scène lourdes de sens.