J'ai tué le fils du chef - Affaire Grégory, le roman de la Vologne 1984-2018
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- Nombre de pages309
- FormatePub
- ISBN978-2-7556-3218-7
- EAN9782755632187
- Date de parution01/02/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurHugo Document
Résumé
Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en cause de nouveaux suspects et le suicide du premier juge d'instruction, Jean-Michel Lambert.
Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse « d'aboyer avec la meute » et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique.
Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient oeuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au coeur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique.
À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...
Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse « d'aboyer avec la meute » et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique.
Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient oeuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au coeur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique.
À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...
Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en cause de nouveaux suspects et le suicide du premier juge d'instruction, Jean-Michel Lambert.
Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse « d'aboyer avec la meute » et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique.
Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient oeuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au coeur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique.
À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...
Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse « d'aboyer avec la meute » et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique.
Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient oeuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au coeur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique.
À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...