Il n'y a pas d'apocalypse climatique. Modèles, mesures et prévisions : se délivrer de l'éco-anxiété

Par : François Gervais
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages192
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8100-1251-0
  • EAN9782810012510
  • Date de parution29/01/2025
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille4 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurL'artilleur

Résumé

Physicien et observateur des questions climatiques, François Gervais met ici à la disposition des lecteurs quelques éléments qu'il n'est plus possible de cacher, à l'heure où de nombreuses personnes souffrent d'éco-anxiété et où la France s'enfonce dans une crise de la dette majeure. Le document officiel du GIEC intitulé Résumé à l'intention des décideurs émis dans le cadre du dernier rapport AR6 de 2023 indique que « chaque tranche de 1000 milliards de tonnes d'émissions cumulées de CO2 devrait probablement causer un accroissement de 0, 27°C à 0, 63°C de la température de surface globale, avec une meilleure estimation de 0, 45°C ».
L'augmentation annuelle de CO2 atmosphérique depuis une trentaine d'années fluctue autour de 2 parties par million soit 15, 6 milliards de tonnes. On en déduit donc que le CO2 cause actuellement un réchauffement de la planète de 0, 007°C par an. La France étant responsable de 0, 8% des émissions mondiales, elle est donc à l'origine d'un réchauffement annuel de 0, 000056°C. Face à ce chiffre trop faible pour être même mesuré, il faut placer les 40 milliards d'euros réservés à la transition écologique dans le budget de la France, somme qui doit même passer à 66 milliards par an selon le rapport Pisany.
Pour François Gervais, ces disproportions délirantes doivent maintenant être interrogées. Ce faisant, il passe en revue plusieurs autres points importants, comme l'écart de 500% entre les projections des différents modèles utilisés par le GIEC ou la difficile question du chiffrage de la part humaine du CO2 émis. Autant de sujets qu'il aborde avec clarté en plaidant pour un retour à la science, seul moyen selon lui de retrouver la lucidité.  François Gervais était directeur de recherche au Centre de recherche sur la physique des hautes températures du CNRS avant d'être professeur des Universités.
Il a été expert reviewer des rapports AR5 et AR6 du GIEC.
Physicien et observateur des questions climatiques, François Gervais met ici à la disposition des lecteurs quelques éléments qu'il n'est plus possible de cacher, à l'heure où de nombreuses personnes souffrent d'éco-anxiété et où la France s'enfonce dans une crise de la dette majeure. Le document officiel du GIEC intitulé Résumé à l'intention des décideurs émis dans le cadre du dernier rapport AR6 de 2023 indique que « chaque tranche de 1000 milliards de tonnes d'émissions cumulées de CO2 devrait probablement causer un accroissement de 0, 27°C à 0, 63°C de la température de surface globale, avec une meilleure estimation de 0, 45°C ».
L'augmentation annuelle de CO2 atmosphérique depuis une trentaine d'années fluctue autour de 2 parties par million soit 15, 6 milliards de tonnes. On en déduit donc que le CO2 cause actuellement un réchauffement de la planète de 0, 007°C par an. La France étant responsable de 0, 8% des émissions mondiales, elle est donc à l'origine d'un réchauffement annuel de 0, 000056°C. Face à ce chiffre trop faible pour être même mesuré, il faut placer les 40 milliards d'euros réservés à la transition écologique dans le budget de la France, somme qui doit même passer à 66 milliards par an selon le rapport Pisany.
Pour François Gervais, ces disproportions délirantes doivent maintenant être interrogées. Ce faisant, il passe en revue plusieurs autres points importants, comme l'écart de 500% entre les projections des différents modèles utilisés par le GIEC ou la difficile question du chiffrage de la part humaine du CO2 émis. Autant de sujets qu'il aborde avec clarté en plaidant pour un retour à la science, seul moyen selon lui de retrouver la lucidité.  François Gervais était directeur de recherche au Centre de recherche sur la physique des hautes températures du CNRS avant d'être professeur des Universités.
Il a été expert reviewer des rapports AR5 et AR6 du GIEC.