Dossier D... comme Dailly. Le sénateur, l'argent, la politique
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- Nombre de pages137
- FormatePub
- ISBN2-402-08775-7
- EAN9782402087759
- Date de parution01/01/1987
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (A. M...
Résumé
Il est en fin de carrière, n'a jamais été ministre. Et ne le sera sans doute jamais. Vice-président du Sénat, il désespère d'accéder au second rang de l'État, c'est-à-dire à la présidence de la Haute Assemblée. Et c'est tant mieux. Un ratage ? pas tout à fait : depuis quarante ans Étienne Dailly joue un rôle, au moins en coulisses, dans nombre d'épisodes de la vie politique française. Il pose volontiers, dans les débats de société, au père la morale.
Et pourtant, pourtant. Une des raisons essentielles pour lesquelles il n'a pu accéder aux plus hautes fonctions malgré tout son savoir-faire, est qu'Étienne Dailly a trop mélangé les genres. Car à l'heure où l'on discourt et légifère sur la nécessaire « transparence » du monde politique, l'habile sénateur représente le plus bel exemple d'une constante vocation d'intermédiaire entre l'argent et la politique.
En somme une leçon d'instruction civique à l'envers.
Et pourtant, pourtant. Une des raisons essentielles pour lesquelles il n'a pu accéder aux plus hautes fonctions malgré tout son savoir-faire, est qu'Étienne Dailly a trop mélangé les genres. Car à l'heure où l'on discourt et légifère sur la nécessaire « transparence » du monde politique, l'habile sénateur représente le plus bel exemple d'une constante vocation d'intermédiaire entre l'argent et la politique.
En somme une leçon d'instruction civique à l'envers.
Il est en fin de carrière, n'a jamais été ministre. Et ne le sera sans doute jamais. Vice-président du Sénat, il désespère d'accéder au second rang de l'État, c'est-à-dire à la présidence de la Haute Assemblée. Et c'est tant mieux. Un ratage ? pas tout à fait : depuis quarante ans Étienne Dailly joue un rôle, au moins en coulisses, dans nombre d'épisodes de la vie politique française. Il pose volontiers, dans les débats de société, au père la morale.
Et pourtant, pourtant. Une des raisons essentielles pour lesquelles il n'a pu accéder aux plus hautes fonctions malgré tout son savoir-faire, est qu'Étienne Dailly a trop mélangé les genres. Car à l'heure où l'on discourt et légifère sur la nécessaire « transparence » du monde politique, l'habile sénateur représente le plus bel exemple d'une constante vocation d'intermédiaire entre l'argent et la politique.
En somme une leçon d'instruction civique à l'envers.
Et pourtant, pourtant. Une des raisons essentielles pour lesquelles il n'a pu accéder aux plus hautes fonctions malgré tout son savoir-faire, est qu'Étienne Dailly a trop mélangé les genres. Car à l'heure où l'on discourt et légifère sur la nécessaire « transparence » du monde politique, l'habile sénateur représente le plus bel exemple d'une constante vocation d'intermédiaire entre l'argent et la politique.
En somme une leçon d'instruction civique à l'envers.