Des bruyères d'Auvergne aux ronces du S.T.O. : une vie auvergnate

Par : Robert Lesaffre

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  • Nombre de pages200
  • FormatePub
  • ISBN2-402-15123-4
  • EAN9782402151238
  • Date de parution01/01/1985
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Lett...

Résumé

Le matricule 19662, un de la classe 42, se souvient. De son enfance auvergnate, d'abord, à Saint-Mary-le-Plain, près de Massiac, la porte fleurie du Cantal ; de son adolescence sous le ciel plombé de l'occupation allemande ; du départ en Allemagne dans les rangs du S. T. O. (Service du Travail Obligatoire) ; du retour, enfin, après les années d'exil, les années perdues. Le réalisme de ce récit nettement autobiographique lui donne valeur de témoignage.
Et de nombreux « forçats du Reich », victimes de la décision du Gouvernement de Vichy, se retrouveront dans ces pages. Mais là ne réside pas le seul intérêt de ce livre dont la fausse simplicité d'écriture révèle une réelle maîtrise de la langue. Ainsi Robert Lesaffre restitue-t-il à merveille climats et personnages. Et le lecteur s'attache, avec le héros Marcel, aux figures inoubliables qui ponctuent sa vie : Mémé Alexandrine, l'oncle Alexis, Tante Marthe, Tastevin et Justin - les compagnons de captivité -, Hélène et Madame Georgi, Pacha.
et Quo Lontzé, le chien si fidèle. Bien qu'empreint parfois de tristesse, jamais le ton de Robert Lesaffre ne devient amer. Au plus gris de sa vie, Marcel garde présents au cour des bonheurs passés qui toujours renouvellent l'espérance.
Le matricule 19662, un de la classe 42, se souvient. De son enfance auvergnate, d'abord, à Saint-Mary-le-Plain, près de Massiac, la porte fleurie du Cantal ; de son adolescence sous le ciel plombé de l'occupation allemande ; du départ en Allemagne dans les rangs du S. T. O. (Service du Travail Obligatoire) ; du retour, enfin, après les années d'exil, les années perdues. Le réalisme de ce récit nettement autobiographique lui donne valeur de témoignage.
Et de nombreux « forçats du Reich », victimes de la décision du Gouvernement de Vichy, se retrouveront dans ces pages. Mais là ne réside pas le seul intérêt de ce livre dont la fausse simplicité d'écriture révèle une réelle maîtrise de la langue. Ainsi Robert Lesaffre restitue-t-il à merveille climats et personnages. Et le lecteur s'attache, avec le héros Marcel, aux figures inoubliables qui ponctuent sa vie : Mémé Alexandrine, l'oncle Alexis, Tante Marthe, Tastevin et Justin - les compagnons de captivité -, Hélène et Madame Georgi, Pacha.
et Quo Lontzé, le chien si fidèle. Bien qu'empreint parfois de tristesse, jamais le ton de Robert Lesaffre ne devient amer. Au plus gris de sa vie, Marcel garde présents au cour des bonheurs passés qui toujours renouvellent l'espérance.