De la maison forestière à l'auberge du village

Par : Madeleine Steil, D. Marchal-Steil

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  • Nombre de pages132
  • FormatePub
  • ISBN2-402-31209-2
  • EAN9782402312097
  • Date de parution01/01/1982
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille34 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

Dans une petite maison forestière isolée naquit Marie-Madeleine, fille de Berthe et de Paul Reitz. C'était le 14 juin 1919. Sa prime jeunesse se passa au milieu des bois, des champs, en véritable sauvageonne ; mais, dans cette solitude, elle apprit à aimer les arbres, les fleurs, les animaux. La vie était douce et rude à la fois. Devant parcourir plusieurs kilomètres pour se rendre à l'école communale d'Assenoncourt, Marie-Madeleine tomba malade.
Son père, déjà atteint par la maladie de Parkinson contractée à la guerre, fut déplacé à Zommange, où l'école était toute proche. Quatre années s'écoulèrent... Son père était devenu infirme, et la famille dut se retirer à Guermange. Marie-Madeleine se maria à vingt ans, juste avant « la drôle de guerre ». Les occupants expulsèrent une partie des villageois. Avec d'autres habitants du bourg, la famille de Marie-Madeleine eut le triste privilège de rester au village.
Toutes sortes de brimades et de sanctions lui furent infligées. La Gestapo avait l'oil sur elle car elle écoutait la radio de Londres et faisait passer des prisonniers. Le colonel Rémy relate certains de ces faits dans « Mémoires d'un Agent secret de la France Libre ». Le jeune mari fut contraint d'endosser l'uniforme allemand, pour que les représailles ne retombent pas sur sa famille tout entière.
Il revint fort heureusement de la guerre, après de très dures épreuves.
Dans une petite maison forestière isolée naquit Marie-Madeleine, fille de Berthe et de Paul Reitz. C'était le 14 juin 1919. Sa prime jeunesse se passa au milieu des bois, des champs, en véritable sauvageonne ; mais, dans cette solitude, elle apprit à aimer les arbres, les fleurs, les animaux. La vie était douce et rude à la fois. Devant parcourir plusieurs kilomètres pour se rendre à l'école communale d'Assenoncourt, Marie-Madeleine tomba malade.
Son père, déjà atteint par la maladie de Parkinson contractée à la guerre, fut déplacé à Zommange, où l'école était toute proche. Quatre années s'écoulèrent... Son père était devenu infirme, et la famille dut se retirer à Guermange. Marie-Madeleine se maria à vingt ans, juste avant « la drôle de guerre ». Les occupants expulsèrent une partie des villageois. Avec d'autres habitants du bourg, la famille de Marie-Madeleine eut le triste privilège de rester au village.
Toutes sortes de brimades et de sanctions lui furent infligées. La Gestapo avait l'oil sur elle car elle écoutait la radio de Londres et faisait passer des prisonniers. Le colonel Rémy relate certains de ces faits dans « Mémoires d'un Agent secret de la France Libre ». Le jeune mari fut contraint d'endosser l'uniforme allemand, pour que les représailles ne retombent pas sur sa famille tout entière.
Il revint fort heureusement de la guerre, après de très dures épreuves.