Complot pour l'Amérique. 1775 - 1778, le rêve américain de Beaumarchais

Par : Azeau

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  • Nombre de pages232
  • FormatePub
  • ISBN2-221-18126-3
  • EAN9782221181263
  • Date de parution01/01/1990
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurRobert Laffont (réédition numéri...

Résumé

Le 4 juillet 1776, les treize colonies anglaises d'Amérique proclamaient leur indépendance. La jeune nation n'était pas, pour autant, assurée de son existence. Le roi George III s'était promis de réduire leur rébellion et la force était de son côté : à ses mercenaires aguerris, les colons ne pouvaient opposer que des cohortes indisciplinées et mal équipées. Les insurgés - on disait plutôt les Insurgents - ne pouvaient trouver d'aide qu'en Europe.
Mais auprès de qui ? Leurs amis étaient sans pouvoir, les monarques peu soucieux de soutenir des républicains en révolte. Quelques hommes vont, à eux seuls, ou presque, faire basculer le destin. Et, parmi eux, trois personnages-clés : le comte de Maurepas qui, sans exercer aucune fonction officielle, est le conseiller le plus intime du jeune roi Louis XVI ; le comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères ; enfin, remuant, surprenant, irritant, encombrant, brillant comme Figaro, Pierre Augustin Caron de Beaumarchais.
Les deux premiers mettront deux ans à convaincre un monarque réticent que l'entrée en guerre aux côtés de l'Amérique serait, pour la France, l'occasion inespérée d'effacer l'humiliation de la guerre de Sept Ans. Le troisième met au service de la cause des Insurgents son enthousiasme, sa générosité, son goût de l'intrigue. Trompant la vigilance de l'ambassadeur d'Angleterre et de ses agents, il met sur pied une formidable contrebande d'armes, via les Antilles, sans compromettre le roi...
et le plus souvent sans être payé. Ce sont les armes de Beaumarchais qui équipent l'armée de Washington lorsque celle-ci remporte, à Saratoga, en octobre 1777, un premier et surprenant succès. Les Américains sont sauvés et le roi de France peut s'allier à eux. Pendant les mois cruciaux qui avaient précédé, le complot pour l'Amérique avait été le miracle dont les Insurgents avaient besoin, le maillon décisif dans la chaîne de la liberté.
Le 4 juillet 1776, les treize colonies anglaises d'Amérique proclamaient leur indépendance. La jeune nation n'était pas, pour autant, assurée de son existence. Le roi George III s'était promis de réduire leur rébellion et la force était de son côté : à ses mercenaires aguerris, les colons ne pouvaient opposer que des cohortes indisciplinées et mal équipées. Les insurgés - on disait plutôt les Insurgents - ne pouvaient trouver d'aide qu'en Europe.
Mais auprès de qui ? Leurs amis étaient sans pouvoir, les monarques peu soucieux de soutenir des républicains en révolte. Quelques hommes vont, à eux seuls, ou presque, faire basculer le destin. Et, parmi eux, trois personnages-clés : le comte de Maurepas qui, sans exercer aucune fonction officielle, est le conseiller le plus intime du jeune roi Louis XVI ; le comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères ; enfin, remuant, surprenant, irritant, encombrant, brillant comme Figaro, Pierre Augustin Caron de Beaumarchais.
Les deux premiers mettront deux ans à convaincre un monarque réticent que l'entrée en guerre aux côtés de l'Amérique serait, pour la France, l'occasion inespérée d'effacer l'humiliation de la guerre de Sept Ans. Le troisième met au service de la cause des Insurgents son enthousiasme, sa générosité, son goût de l'intrigue. Trompant la vigilance de l'ambassadeur d'Angleterre et de ses agents, il met sur pied une formidable contrebande d'armes, via les Antilles, sans compromettre le roi...
et le plus souvent sans être payé. Ce sont les armes de Beaumarchais qui équipent l'armée de Washington lorsque celle-ci remporte, à Saratoga, en octobre 1777, un premier et surprenant succès. Les Américains sont sauvés et le roi de France peut s'allier à eux. Pendant les mois cruciaux qui avaient précédé, le complot pour l'Amérique avait été le miracle dont les Insurgents avaient besoin, le maillon décisif dans la chaîne de la liberté.