Collégiennes perverties
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Collégiennes perverties
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- Nombre de pages260
- FormatePub
- ISBN2-307-01864-6
- EAN9782307018643
- Date de parution01/01/1979
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille67 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Edit...
Résumé
Chantal regardait le spectacle qui se déroulait autour d'elle, inquiète et apeurée. Elle n'avait que 14 ans, mais elle avait voulu suivre Christine et Sylvie, ses deux bonnes copines à peine plus âgées qu'elle à cette soirée spéciale qu'avait organisée Carole leur prof d'Anglais. « On allait bien s'amuser avait dit Sylvie et avec notre prof, rien à craindre... » ... La soirée dégénérait en véritable partouze.
Était-ce donc cela que ses amies appelaient partouze ? Elle avait bu beaucoup de champagne et la tête commençait à lui tourner, elle eut envie de fuir et son regard, cherchant la sortie, rencontra Christine à moitié dévêtue, se pelotant sur un « vieux » de 50 ans. Un peu plus loin, Sylvie, à moitié renversée sur un divan, subissait les derniers outrages... Que lui faisait-on ? Elle avait du mal à voir dans cette atmosphère de plus en plus enfumée.
Ce n'était pas possible que Christine et Sylvie soient consentantes ! Elle eut envie de vomir, il fallait quitter cette maison à tout prix. Elle fit un pas en direction de la porte de sortie qu'elle avait fini par repérer, mais elle sentit deux grosses mains l'enserrer et se refermer sur sa poitrine. Elle fit un effort pour se dégager, sentit une chaleur lui monter à la tête, et perdit connaissance...
Était-ce donc cela que ses amies appelaient partouze ? Elle avait bu beaucoup de champagne et la tête commençait à lui tourner, elle eut envie de fuir et son regard, cherchant la sortie, rencontra Christine à moitié dévêtue, se pelotant sur un « vieux » de 50 ans. Un peu plus loin, Sylvie, à moitié renversée sur un divan, subissait les derniers outrages... Que lui faisait-on ? Elle avait du mal à voir dans cette atmosphère de plus en plus enfumée.
Ce n'était pas possible que Christine et Sylvie soient consentantes ! Elle eut envie de vomir, il fallait quitter cette maison à tout prix. Elle fit un pas en direction de la porte de sortie qu'elle avait fini par repérer, mais elle sentit deux grosses mains l'enserrer et se refermer sur sa poitrine. Elle fit un effort pour se dégager, sentit une chaleur lui monter à la tête, et perdit connaissance...
Chantal regardait le spectacle qui se déroulait autour d'elle, inquiète et apeurée. Elle n'avait que 14 ans, mais elle avait voulu suivre Christine et Sylvie, ses deux bonnes copines à peine plus âgées qu'elle à cette soirée spéciale qu'avait organisée Carole leur prof d'Anglais. « On allait bien s'amuser avait dit Sylvie et avec notre prof, rien à craindre... » ... La soirée dégénérait en véritable partouze.
Était-ce donc cela que ses amies appelaient partouze ? Elle avait bu beaucoup de champagne et la tête commençait à lui tourner, elle eut envie de fuir et son regard, cherchant la sortie, rencontra Christine à moitié dévêtue, se pelotant sur un « vieux » de 50 ans. Un peu plus loin, Sylvie, à moitié renversée sur un divan, subissait les derniers outrages... Que lui faisait-on ? Elle avait du mal à voir dans cette atmosphère de plus en plus enfumée.
Ce n'était pas possible que Christine et Sylvie soient consentantes ! Elle eut envie de vomir, il fallait quitter cette maison à tout prix. Elle fit un pas en direction de la porte de sortie qu'elle avait fini par repérer, mais elle sentit deux grosses mains l'enserrer et se refermer sur sa poitrine. Elle fit un effort pour se dégager, sentit une chaleur lui monter à la tête, et perdit connaissance...
Était-ce donc cela que ses amies appelaient partouze ? Elle avait bu beaucoup de champagne et la tête commençait à lui tourner, elle eut envie de fuir et son regard, cherchant la sortie, rencontra Christine à moitié dévêtue, se pelotant sur un « vieux » de 50 ans. Un peu plus loin, Sylvie, à moitié renversée sur un divan, subissait les derniers outrages... Que lui faisait-on ? Elle avait du mal à voir dans cette atmosphère de plus en plus enfumée.
Ce n'était pas possible que Christine et Sylvie soient consentantes ! Elle eut envie de vomir, il fallait quitter cette maison à tout prix. Elle fit un pas en direction de la porte de sortie qu'elle avait fini par repérer, mais elle sentit deux grosses mains l'enserrer et se refermer sur sa poitrine. Elle fit un effort pour se dégager, sentit une chaleur lui monter à la tête, et perdit connaissance...
A propos de François Stodaf