Colère au fond des puits. Ou Comment les gueules noires ont popularisé la grève
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- Nombre de pages282
- FormatePub
- ISBN10-410-0197-5
- EAN9791041001972
- Date de parution01/01/1964
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille584 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Sali...
Résumé
Roger Lajoie-Mazenc est né à Decazeville (Aveyron), il y a 28 ans. Fils et petit-fils de mineurs. Un tragique accident du travail, au puits de Bourran, fait de lui un orphelin : il a 4 ans, son frère 18 mois. Ancien élève de l'école publique de Labastide-l'Évêque et du Collège classique de Villefranche-de-Rouergue (Aveyron), il fut postier à Paris et Mende, avant de verser dans le journalisme professionnel.
Il a déjà publié « L'or noir pour un troupier » (1961) et « Une vie à chercher la vie » (1963). La presse, par l'accueil qu'elle réserva à ses premiers ouvrages, situe sa valeur : "R. Lajoie-Mazenc paraît prédestiné au journalisme. Un journalisme expressif, indépendant, franc, libre de critiquer ou de louer, le journalisme ce beau métier qu'il était autrefois." La revue indépendante, Paris (1961).
"Pas la moindre rancour, aucune stérilité, mais la vision lucide des choses. Un style aéré, rustique et vigoureux, d'une constante précision." L'École libératrice, Paris (29-6-62). "Une âme ouverte prématurément à la douleur de vivre. Un inventaire d'amours déçus dans le domaine social et humain. Un bilan de luttes et d'espoirs également vains dans leur générosité." La Montagne, Clermont-Ferrand (30-1-62).
"De nombreuses pensées et réflexions qu'une plume experte a couchées." La Dépêche, Toulouse (22-4-61). "À l'allure où il progresse, R. Lajoie-Mazenc ne tardera pas à retenir l'attention et à faire parler de lui." Midi-Libre, Montpellier (24-10-63). "Sa plume alerte, son style personnel, sans fard, est agréable et sans conformisme, direct." L'écho du centre, Limoges (19-10-63). "R. Lajoie-Mazenc écrit avec simplicité et objectivité." Centre-Presse, Rodez (28-9-63).
Il a déjà publié « L'or noir pour un troupier » (1961) et « Une vie à chercher la vie » (1963). La presse, par l'accueil qu'elle réserva à ses premiers ouvrages, situe sa valeur : "R. Lajoie-Mazenc paraît prédestiné au journalisme. Un journalisme expressif, indépendant, franc, libre de critiquer ou de louer, le journalisme ce beau métier qu'il était autrefois." La revue indépendante, Paris (1961).
"Pas la moindre rancour, aucune stérilité, mais la vision lucide des choses. Un style aéré, rustique et vigoureux, d'une constante précision." L'École libératrice, Paris (29-6-62). "Une âme ouverte prématurément à la douleur de vivre. Un inventaire d'amours déçus dans le domaine social et humain. Un bilan de luttes et d'espoirs également vains dans leur générosité." La Montagne, Clermont-Ferrand (30-1-62).
"De nombreuses pensées et réflexions qu'une plume experte a couchées." La Dépêche, Toulouse (22-4-61). "À l'allure où il progresse, R. Lajoie-Mazenc ne tardera pas à retenir l'attention et à faire parler de lui." Midi-Libre, Montpellier (24-10-63). "Sa plume alerte, son style personnel, sans fard, est agréable et sans conformisme, direct." L'écho du centre, Limoges (19-10-63). "R. Lajoie-Mazenc écrit avec simplicité et objectivité." Centre-Presse, Rodez (28-9-63).
Roger Lajoie-Mazenc est né à Decazeville (Aveyron), il y a 28 ans. Fils et petit-fils de mineurs. Un tragique accident du travail, au puits de Bourran, fait de lui un orphelin : il a 4 ans, son frère 18 mois. Ancien élève de l'école publique de Labastide-l'Évêque et du Collège classique de Villefranche-de-Rouergue (Aveyron), il fut postier à Paris et Mende, avant de verser dans le journalisme professionnel.
Il a déjà publié « L'or noir pour un troupier » (1961) et « Une vie à chercher la vie » (1963). La presse, par l'accueil qu'elle réserva à ses premiers ouvrages, situe sa valeur : "R. Lajoie-Mazenc paraît prédestiné au journalisme. Un journalisme expressif, indépendant, franc, libre de critiquer ou de louer, le journalisme ce beau métier qu'il était autrefois." La revue indépendante, Paris (1961).
"Pas la moindre rancour, aucune stérilité, mais la vision lucide des choses. Un style aéré, rustique et vigoureux, d'une constante précision." L'École libératrice, Paris (29-6-62). "Une âme ouverte prématurément à la douleur de vivre. Un inventaire d'amours déçus dans le domaine social et humain. Un bilan de luttes et d'espoirs également vains dans leur générosité." La Montagne, Clermont-Ferrand (30-1-62).
"De nombreuses pensées et réflexions qu'une plume experte a couchées." La Dépêche, Toulouse (22-4-61). "À l'allure où il progresse, R. Lajoie-Mazenc ne tardera pas à retenir l'attention et à faire parler de lui." Midi-Libre, Montpellier (24-10-63). "Sa plume alerte, son style personnel, sans fard, est agréable et sans conformisme, direct." L'écho du centre, Limoges (19-10-63). "R. Lajoie-Mazenc écrit avec simplicité et objectivité." Centre-Presse, Rodez (28-9-63).
Il a déjà publié « L'or noir pour un troupier » (1961) et « Une vie à chercher la vie » (1963). La presse, par l'accueil qu'elle réserva à ses premiers ouvrages, situe sa valeur : "R. Lajoie-Mazenc paraît prédestiné au journalisme. Un journalisme expressif, indépendant, franc, libre de critiquer ou de louer, le journalisme ce beau métier qu'il était autrefois." La revue indépendante, Paris (1961).
"Pas la moindre rancour, aucune stérilité, mais la vision lucide des choses. Un style aéré, rustique et vigoureux, d'une constante précision." L'École libératrice, Paris (29-6-62). "Une âme ouverte prématurément à la douleur de vivre. Un inventaire d'amours déçus dans le domaine social et humain. Un bilan de luttes et d'espoirs également vains dans leur générosité." La Montagne, Clermont-Ferrand (30-1-62).
"De nombreuses pensées et réflexions qu'une plume experte a couchées." La Dépêche, Toulouse (22-4-61). "À l'allure où il progresse, R. Lajoie-Mazenc ne tardera pas à retenir l'attention et à faire parler de lui." Midi-Libre, Montpellier (24-10-63). "Sa plume alerte, son style personnel, sans fard, est agréable et sans conformisme, direct." L'écho du centre, Limoges (19-10-63). "R. Lajoie-Mazenc écrit avec simplicité et objectivité." Centre-Presse, Rodez (28-9-63).