Ces choses-là ne s'oublient pas. Carnets journaliers d'un Senlisien, 1er août 1914-juillet 1923
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages331
- FormatePub
- ISBN2-402-09014-6
- EAN9782402090148
- Date de parution31/12/1987
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Corp...
Résumé
Le 2 août 1914, un habitant de Senlis, Gustave Beaufort, ancien ouvrier menuisier devenu surveillant des travaux de la ville, militant mutualiste, décide d'« inscrire sur un carnet journalier les événements qui allaient se produire au jour le jour », manuscrit conservé par la Bibliothèque municipale de Senlis. Pendant plus de quatre années, il a rédigé une chronique de sa petite ville malheureusement placée au contact d'une guerre qui lui laissait peu de répit.
L'alternance des mouvements de troupes, la persistance de la canonnade, les flux des réfugiés rythment cette relation. Gustave Beaufort a apporté à la nourrir une persévérance tranquille, un patriotisme robuste, un sens de l'observation exceptionnel et, au détour d'une phrase, le clin d'oil d'un humour malicieux. Simplement et par touches légères, ce journal offre une peinture sans concession de la guerre, l'expression juste des mentalités d'une France provinciale de 1914, l'évocation colorée et précise de la vie quotidienne à Senlis pendant ces années tragiques.
À l'occasion du soixante-dixième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, il était bon d'achever le geste de Gustave Beaufort : livrer aux générations qui n'ont pas connu la Grande Guerre le témoignage qu'il leur destinait.
L'alternance des mouvements de troupes, la persistance de la canonnade, les flux des réfugiés rythment cette relation. Gustave Beaufort a apporté à la nourrir une persévérance tranquille, un patriotisme robuste, un sens de l'observation exceptionnel et, au détour d'une phrase, le clin d'oil d'un humour malicieux. Simplement et par touches légères, ce journal offre une peinture sans concession de la guerre, l'expression juste des mentalités d'une France provinciale de 1914, l'évocation colorée et précise de la vie quotidienne à Senlis pendant ces années tragiques.
À l'occasion du soixante-dixième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, il était bon d'achever le geste de Gustave Beaufort : livrer aux générations qui n'ont pas connu la Grande Guerre le témoignage qu'il leur destinait.
Le 2 août 1914, un habitant de Senlis, Gustave Beaufort, ancien ouvrier menuisier devenu surveillant des travaux de la ville, militant mutualiste, décide d'« inscrire sur un carnet journalier les événements qui allaient se produire au jour le jour », manuscrit conservé par la Bibliothèque municipale de Senlis. Pendant plus de quatre années, il a rédigé une chronique de sa petite ville malheureusement placée au contact d'une guerre qui lui laissait peu de répit.
L'alternance des mouvements de troupes, la persistance de la canonnade, les flux des réfugiés rythment cette relation. Gustave Beaufort a apporté à la nourrir une persévérance tranquille, un patriotisme robuste, un sens de l'observation exceptionnel et, au détour d'une phrase, le clin d'oil d'un humour malicieux. Simplement et par touches légères, ce journal offre une peinture sans concession de la guerre, l'expression juste des mentalités d'une France provinciale de 1914, l'évocation colorée et précise de la vie quotidienne à Senlis pendant ces années tragiques.
À l'occasion du soixante-dixième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, il était bon d'achever le geste de Gustave Beaufort : livrer aux générations qui n'ont pas connu la Grande Guerre le témoignage qu'il leur destinait.
L'alternance des mouvements de troupes, la persistance de la canonnade, les flux des réfugiés rythment cette relation. Gustave Beaufort a apporté à la nourrir une persévérance tranquille, un patriotisme robuste, un sens de l'observation exceptionnel et, au détour d'une phrase, le clin d'oil d'un humour malicieux. Simplement et par touches légères, ce journal offre une peinture sans concession de la guerre, l'expression juste des mentalités d'une France provinciale de 1914, l'évocation colorée et précise de la vie quotidienne à Senlis pendant ces années tragiques.
À l'occasion du soixante-dixième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, il était bon d'achever le geste de Gustave Beaufort : livrer aux générations qui n'ont pas connu la Grande Guerre le témoignage qu'il leur destinait.