Bonjour et adieu à la négritude. Suivi de Travaux d'identité
Par : , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages268
- FormatPDF
- ISBN2-402-61835-3
- EAN9782402618359
- Date de parution01/01/1980
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille72 Mo
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Seghers)
Résumé
Bonjour et adieu à la négritude est le résultat de plusieurs années de recherche et d'expériences vécues dans différents pays de la Caraïbe et de l'Amérique latine. L'auteur passe au crible le processus historique qui devait intervertir l'ordre des apparences et de l'essence des êtres humains, en donnant une signification morale et esthétique à la couleur de leur peau et à leurs traits physiques. Ainsi se trouve démythifiée l'époque où, au visage du monde, le "noir" fonctionnait comme une verrue de l'Histoire, et le "blanc" comme un grain de beauté.
Une fois décolonisées, les notions mythiques de "blanc", de "noir", de "jaune", de "métis" et d'"indien" révèlent ce qu'elles ont toujours été : des pièges grossiers, des signes de l'imaginaire du colonialisme, des figures illusoires de "l'inhumanité de l'homme envers l'homme". A travers une approche du mouvement qui a défini le concept de négritude, René Depestre plaide aujourd'hui pour une mutation d'identité qui ferait de tous les humains une glorieuse aventure individuelle et collective.
Adieu à la négritude, et après, qui être ?
Une fois décolonisées, les notions mythiques de "blanc", de "noir", de "jaune", de "métis" et d'"indien" révèlent ce qu'elles ont toujours été : des pièges grossiers, des signes de l'imaginaire du colonialisme, des figures illusoires de "l'inhumanité de l'homme envers l'homme". A travers une approche du mouvement qui a défini le concept de négritude, René Depestre plaide aujourd'hui pour une mutation d'identité qui ferait de tous les humains une glorieuse aventure individuelle et collective.
Adieu à la négritude, et après, qui être ?
Bonjour et adieu à la négritude est le résultat de plusieurs années de recherche et d'expériences vécues dans différents pays de la Caraïbe et de l'Amérique latine. L'auteur passe au crible le processus historique qui devait intervertir l'ordre des apparences et de l'essence des êtres humains, en donnant une signification morale et esthétique à la couleur de leur peau et à leurs traits physiques. Ainsi se trouve démythifiée l'époque où, au visage du monde, le "noir" fonctionnait comme une verrue de l'Histoire, et le "blanc" comme un grain de beauté.
Une fois décolonisées, les notions mythiques de "blanc", de "noir", de "jaune", de "métis" et d'"indien" révèlent ce qu'elles ont toujours été : des pièges grossiers, des signes de l'imaginaire du colonialisme, des figures illusoires de "l'inhumanité de l'homme envers l'homme". A travers une approche du mouvement qui a défini le concept de négritude, René Depestre plaide aujourd'hui pour une mutation d'identité qui ferait de tous les humains une glorieuse aventure individuelle et collective.
Adieu à la négritude, et après, qui être ?
Une fois décolonisées, les notions mythiques de "blanc", de "noir", de "jaune", de "métis" et d'"indien" révèlent ce qu'elles ont toujours été : des pièges grossiers, des signes de l'imaginaire du colonialisme, des figures illusoires de "l'inhumanité de l'homme envers l'homme". A travers une approche du mouvement qui a défini le concept de négritude, René Depestre plaide aujourd'hui pour une mutation d'identité qui ferait de tous les humains une glorieuse aventure individuelle et collective.
Adieu à la négritude, et après, qui être ?