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  • Nombre de pages112
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-07-517119-9
  • EAN9782075171199
  • Date de parution17/08/2022
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille54 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurEditions Gallimard BD
  • PréfacierAnna Gavalda

Résumé

Côte d'Ivoire, 1978. Aya a dix-neuf ans et vit à Yopougon, un quartier populaire d'Abidjan. Ça sent le début des vacances mais très vite les choses vont commencer à se gâter...
Côte d'Ivoire, 1978. Aya a dix-neuf ans et vit à Yopougon, un quartier populaire d'Abidjan. Ça sent le début des vacances mais très vite les choses vont commencer à se gâter...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
RoxaneDecitre Grenoble
2/5
ça va chauffer !
Bienvenue à Yopougon, quartier populaire d’Abidjan en Côte d’Ivoire. On est en 1970 et les vacances d’été débutent. Aya, jeune femme déterminée de 19 ans, partage son temps entre sa famille (dont ses parents, Ignace et Fanta) et ses amies (Adjoua et Bintou). Mais contrairement à ces dernières, pour Aya, pas question de mariage : elle préfère de loin ses livres de cours à l’hôtel des 1000 étoiles où les autres filles se laissent embrasser. Entre cachotteries et secrets, l’univers d’Aya va vite être chamboulé... ! « Aya de Yopougon » nous offre un retour dans un passé pas si lointain, dans une contrée pas si éloignée. On découvre ici une Afrique fourmillant de vie, entre pleurs et rires, disputes et réconciliations . Marguerite Abouët nous parle du pays de son enfance, loin de la misère, de la guerre et de la famille, telle qu’on nous le dépeint aujourd’hui. L’auteur nous évoquer une Afrique plus insouciante où les jeunes rêvent tout à la fois de : - Partir, - Rester, - Fonder une famille, - Avoir un métier stable, - Pouvoir, surtout, aller « gazer » au « ça va chauffer ». La saga « Aya de Yopougon » (déclinée en 6 volumes) ressemble un peu à un soap opéra : comme dans un feuilleton télévisé, on assiste ici à plusieurs intrigues parallèles, qui finissent la plupart du temps par s’entremêler, et surtout où chaque épisode se termine sur un cliffangher. On suit plusieurs personnages, alternant ainsi les points de vue. C’est donc distrayant et léger. Les couleurs vives, du rose au violet en passant par le orange, de Clément Oubrerie rendent tangibles cette chaleur dans l’air et cette chaleur humaine. On retiendra tout particulièrement certaines planches en pleine page, magnifiques, et le « bonus ivoirien », savoureux, où Aya nous fournit un lexique des termes utilisés, où Adjoua nous apprend à nouer le pagne, où Bintou fait une démonstrations de roulement de « tassaba », où Ignace livre la recette du « Gnamankoudji » et Fanta, celle de sa sauce « aller-retour ». On passe donc un agréable moment et je pense que personne ne souhaite se refuser un moment de détente. Malheureusement, à l’instar d’un soap opéra, « Aya de Yopougon » se limite à ça : j’ai été gênée par le dessin aux traits trop simplistes pour moi, par le machisme ambiant et le désir de toutes les jeunes filles (à l’exception d’Aya) de fricoter avec un tas, tout un tas de garçons. Aya fait ici trop figure d’exception et ses amies, bien que prêtant à sourire parfois, ne m’ont pas donné l’occasion de les apprécier plus que ça : leur manque d’ambition, leur volubilité dans tous les aspects de leurs vie, m’ont ennuyé. Reste donc une charmante saga qui vous changera les idées l’espace d’un instant.
Bienvenue à Yopougon, quartier populaire d’Abidjan en Côte d’Ivoire. On est en 1970 et les vacances d’été débutent. Aya, jeune femme déterminée de 19 ans, partage son temps entre sa famille (dont ses parents, Ignace et Fanta) et ses amies (Adjoua et Bintou). Mais contrairement à ces dernières, pour Aya, pas question de mariage : elle préfère de loin ses livres de cours à l’hôtel des 1000 étoiles où les autres filles se laissent embrasser. Entre cachotteries et secrets, l’univers d’Aya va vite être chamboulé... ! « Aya de Yopougon » nous offre un retour dans un passé pas si lointain, dans une contrée pas si éloignée. On découvre ici une Afrique fourmillant de vie, entre pleurs et rires, disputes et réconciliations . Marguerite Abouët nous parle du pays de son enfance, loin de la misère, de la guerre et de la famille, telle qu’on nous le dépeint aujourd’hui. L’auteur nous évoquer une Afrique plus insouciante où les jeunes rêvent tout à la fois de : - Partir, - Rester, - Fonder une famille, - Avoir un métier stable, - Pouvoir, surtout, aller « gazer » au « ça va chauffer ». La saga « Aya de Yopougon » (déclinée en 6 volumes) ressemble un peu à un soap opéra : comme dans un feuilleton télévisé, on assiste ici à plusieurs intrigues parallèles, qui finissent la plupart du temps par s’entremêler, et surtout où chaque épisode se termine sur un cliffangher. On suit plusieurs personnages, alternant ainsi les points de vue. C’est donc distrayant et léger. Les couleurs vives, du rose au violet en passant par le orange, de Clément Oubrerie rendent tangibles cette chaleur dans l’air et cette chaleur humaine. On retiendra tout particulièrement certaines planches en pleine page, magnifiques, et le « bonus ivoirien », savoureux, où Aya nous fournit un lexique des termes utilisés, où Adjoua nous apprend à nouer le pagne, où Bintou fait une démonstrations de roulement de « tassaba », où Ignace livre la recette du « Gnamankoudji » et Fanta, celle de sa sauce « aller-retour ». On passe donc un agréable moment et je pense que personne ne souhaite se refuser un moment de détente. Malheureusement, à l’instar d’un soap opéra, « Aya de Yopougon » se limite à ça : j’ai été gênée par le dessin aux traits trop simplistes pour moi, par le machisme ambiant et le désir de toutes les jeunes filles (à l’exception d’Aya) de fricoter avec un tas, tout un tas de garçons. Aya fait ici trop figure d’exception et ses amies, bien que prêtant à sourire parfois, ne m’ont pas donné l’occasion de les apprécier plus que ça : leur manque d’ambition, leur volubilité dans tous les aspects de leurs vie, m’ont ennuyé. Reste donc une charmante saga qui vous changera les idées l’espace d’un instant.
  • Drôle
  • XXe siècle
  • Abidjan
  • Côte d'Ivoire
  • bande dessinée
  • aya de yopougon
Sous le soleil de Yopougon
On ne s'ennuie pas à Yopougon ! Ce sympathique quartier populaire d'Abidjan abrite une communauté haute en couleurs parmi laquelle Aya et ses amies Bintou et Adjoua tentent d'avancer dans la vie, chacune à sa manière. On est à la fin des années 70, le disco fait fureur dans les maquis où des gazelles à tomber parterre usent de leurs charmes pour un peu de rêve et qui sait, trouver un mari ! Oubliez tous vos préjugés sur l'Afrique. Certes, les femmes sont érigées en modèle de vertu ou de vice selon le bon vouloir des hommes et les pères peuvent manquer à leurs devoirs sans jamais manquer de rappeler ceux de leur progéniture mais il émane beaucoup de tendresse de cette bande dessinée. L'auteur pointe du doigt mais s'amuse aussi parfois des travers culturels de ce microcosme tout en se gardant bien de faire la morale, s'appuyant sur les comiques de situations pour dédramatiser le quotidien. On déambule avec plaisir dans les rues de Yopougon, sous le soleil généreux des couleurs de Clément Oubrerie. Une belle réussite visuelle et un grand moment de culture africaine ! Le petit plus qui fait la différence ? Les dernières pages réservent quelques surprises !
On ne s'ennuie pas à Yopougon ! Ce sympathique quartier populaire d'Abidjan abrite une communauté haute en couleurs parmi laquelle Aya et ses amies Bintou et Adjoua tentent d'avancer dans la vie, chacune à sa manière. On est à la fin des années 70, le disco fait fureur dans les maquis où des gazelles à tomber parterre usent de leurs charmes pour un peu de rêve et qui sait, trouver un mari ! Oubliez tous vos préjugés sur l'Afrique. Certes, les femmes sont érigées en modèle de vertu ou de vice selon le bon vouloir des hommes et les pères peuvent manquer à leurs devoirs sans jamais manquer de rappeler ceux de leur progéniture mais il émane beaucoup de tendresse de cette bande dessinée. L'auteur pointe du doigt mais s'amuse aussi parfois des travers culturels de ce microcosme tout en se gardant bien de faire la morale, s'appuyant sur les comiques de situations pour dédramatiser le quotidien. On déambule avec plaisir dans les rues de Yopougon, sous le soleil généreux des couleurs de Clément Oubrerie. Une belle réussite visuelle et un grand moment de culture africaine ! Le petit plus qui fait la différence ? Les dernières pages réservent quelques surprises !
  • Drôle
  • XXe siècle
  • Yopougon
  • Abidjan
  • Côte d'Ivoire
  • Aya
  • Hervé
  • Moussa
  • Bintou
  • Adjoua
  • Ignace
  • Fanta
  • Mamadou
LaurentDecitre Part-Dieu
4/5
Dêh !
Un petit bijou de fraicheur et de bonne humeur ! On découvre une Afrique méconnu, heureuse et insouciante. Yopougon est un quartier populaire d'Abidjan, plein de "maquis" (restaurant dansant) où les "galériens" (jeunes gens oisifs) viennent "décaler" (danser) avec des "freshnie" (jolies filles). Toute une série de personnages attachant défilent sous nos yeux pour notre plus grand plaisir. Au fur et à mesure des tomes, l'histoire prend plus de consistance et le dessin de Clément Oubrerie s'affirme.
Un petit bijou de fraicheur et de bonne humeur ! On découvre une Afrique méconnu, heureuse et insouciante. Yopougon est un quartier populaire d'Abidjan, plein de "maquis" (restaurant dansant) où les "galériens" (jeunes gens oisifs) viennent "décaler" (danser) avec des "freshnie" (jolies filles). Toute une série de personnages attachant défilent sous nos yeux pour notre plus grand plaisir. Au fur et à mesure des tomes, l'histoire prend plus de consistance et le dessin de Clément Oubrerie s'affirme.
  • XXe siècle
  • Abidjan
  • Côte d'Ivoire

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 19 notes dont 2 avis lecteurs
Le monde en couleurs
Quand on m'a proposé ce partenariat, je n'ai pas hésité. Pourtant, je n'ai pas été attirée par le graphisme et je ne connaissais pas l'histoire. Je me suis basée uniquement sur les nombreuses critiques positives que j'ai vu un peu partout de pas mal de temps maintenant. Disons le tout de suite, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis tant de temps à me laisser tenter, je n'aime pas le dessin. Mais on peut reconnaitre à Clément Oubrerie le talent d'avoir un graphisme coloré adapté à l'ambiance vivante que nous conte Marguerite Abouet. Je ne suis pas non plus emballée plus que ça par les personnages qui semblent tous atteints du même mal, la futilité, à l’exception d’Aya, qui fait du coup un peu figure d’extraterrestre. Leur parler typique m’a gênée pour comprendre l'histoire. Il faut un temps d'adaptation qui est forcément frustrant pour un premier tome avec aussi peu de pages. Mais en même temps, encore une fois, je suis consciente que cela participe à l’ambiance que j'ai appréciée. Car oui, ce que j'ai aimé, c'est cette ambiance colorée, vivante, rythmée, tantôt joyeuse tantôt grave. Les filles ont leur caractère, ce sont elles souvent qui mènent la danse. Les hommes sont eux dépeints de façon peu flatteuse. Marguerite Abouet ne refuse pas d'aborder les défauts qui minent son pays. Elle le fait avec légèreté et finesse. Comme beaucoup, j'ai également beaucoup aimé le bonus en fin d'ouvrage, qui fournit un petit lexique bien pratique et recettes et explications sur les traditions africaines. Après, est-ce parce qu'il ne s'agit ici que du premier tome, mais j'ai trouvé que l'histoire papillonnait d'un personnage féminin à l'autre, de Bintou à Adjoua et Aya, on ne sait plus qui est le personnage central, quel est celui qui nous guide ou que l'on suit. J'ai pour l'instant plus eu l'impression qu'on me posait un décor pour les prochains tomes. Je ne sais pas si cela suffira à me donner envie de découvrir la suite. Bien que j'ai souvent lu qu'elle était bien meilleure. Je pense que je me laisserai porter par le destin et je verrai si elle me tombe dans les mains. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2014/02/aya-de-yopougon-tome-1-marguerite.html
Quand on m'a proposé ce partenariat, je n'ai pas hésité. Pourtant, je n'ai pas été attirée par le graphisme et je ne connaissais pas l'histoire. Je me suis basée uniquement sur les nombreuses critiques positives que j'ai vu un peu partout de pas mal de temps maintenant. Disons le tout de suite, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis tant de temps à me laisser tenter, je n'aime pas le dessin. Mais on peut reconnaitre à Clément Oubrerie le talent d'avoir un graphisme coloré adapté à l'ambiance vivante que nous conte Marguerite Abouet. Je ne suis pas non plus emballée plus que ça par les personnages qui semblent tous atteints du même mal, la futilité, à l’exception d’Aya, qui fait du coup un peu figure d’extraterrestre. Leur parler typique m’a gênée pour comprendre l'histoire. Il faut un temps d'adaptation qui est forcément frustrant pour un premier tome avec aussi peu de pages. Mais en même temps, encore une fois, je suis consciente que cela participe à l’ambiance que j'ai appréciée. Car oui, ce que j'ai aimé, c'est cette ambiance colorée, vivante, rythmée, tantôt joyeuse tantôt grave. Les filles ont leur caractère, ce sont elles souvent qui mènent la danse. Les hommes sont eux dépeints de façon peu flatteuse. Marguerite Abouet ne refuse pas d'aborder les défauts qui minent son pays. Elle le fait avec légèreté et finesse. Comme beaucoup, j'ai également beaucoup aimé le bonus en fin d'ouvrage, qui fournit un petit lexique bien pratique et recettes et explications sur les traditions africaines. Après, est-ce parce qu'il ne s'agit ici que du premier tome, mais j'ai trouvé que l'histoire papillonnait d'un personnage féminin à l'autre, de Bintou à Adjoua et Aya, on ne sait plus qui est le personnage central, quel est celui qui nous guide ou que l'on suit. J'ai pour l'instant plus eu l'impression qu'on me posait un décor pour les prochains tomes. Je ne sais pas si cela suffira à me donner envie de découvrir la suite. Bien que j'ai souvent lu qu'elle était bien meilleure. Je pense que je me laisserai porter par le destin et je verrai si elle me tombe dans les mains. http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr/2014/02/aya-de-yopougon-tome-1-marguerite.html
L'Afrique telle qu'elle est vécue
Alors que pour Aya les études priment, ses deux amies, Adjoua et Bintou, préfèrent penser à "gazer dans les maquis" - comprendre aller danser le soir dans des restaurants populaires. Ce premier tome est le début d'une belle série où l'on découvre le quotidien de jeunes ivoiriennes, traité avec plein d'humour et de gaieté. Sans oublier qu'un savoureux lexique, dans les dernières pages, donnent les clés de compréhension des termes et expressions ivoiriennes découverts au fil du texte !
Alors que pour Aya les études priment, ses deux amies, Adjoua et Bintou, préfèrent penser à "gazer dans les maquis" - comprendre aller danser le soir dans des restaurants populaires. Ce premier tome est le début d'une belle série où l'on découvre le quotidien de jeunes ivoiriennes, traité avec plein d'humour et de gaieté. Sans oublier qu'un savoureux lexique, dans les dernières pages, donnent les clés de compréhension des termes et expressions ivoiriennes découverts au fil du texte !
  • Drôle
  • Inattendu
  • Dépaysant
  • XXe siècle
  • Yopougon
  • Abidjan
  • Côte d'Ivoire
  • Aya
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