Au temps des frou - frous
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- Nombre de pages352
- FormatePub
- ISBN2-402-24805-X
- EAN9782402248051
- Date de parution01/01/1985
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille91 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Fran...
Résumé
Plus de cent cinquante jolies femmes, taille de guêpe, jupes bruissantes et chignons haut perchés, défilent en froufroutant dans ces évocations pleines de saveur, jalonnées d'anecdotes piquantes. On y fait plus ample connaissance avec les grandes courtisanes, les femmes de planches - danseuses, diseuses, théâtreuses, cantatrices célèbres et ballerines classiques - les femmes de salon - égéries et femmes de lettres.
Contrairement à leurs sours féministes, ces belles n'aspiraient pas à devenir l'égale de l'homme, elles voulaient seulement le séduire. Elles ne rêvaient pas de voter, mais de récolter les suffrages masculins autour de leur beauté (qui représentait souvent tout leur capital) et aussi de leurs talents, car elles en eurent de multiples, et de réels. C'était l'époque, si proche et pourtant si lointaine, de Messieurs Loubet et Fallière ; l'époque où les ministres portaient la barbe, où les notaires plaçaient des emprunts russes et où les hommes d'affaires usaient leur foie chez Maxim's et leur cour aux Folies Bergères.
Pêle-mêle, elles semblent se donner la main dans une ronde endiablée et gracieuse : Liane de Pougy, Meg Steinheil, Yvette Guilbert, Casque d'Or, Élisabeth Greffulhl, la Goulue, Anna de Noailles, les mondaines et les demi-mondaines, toutes assoiffées de luxe, emportées dans un tourbillon de plaisirs et dans une course à l'amour, comme si elles devinaient que leurs beaux jours sont comptés et que le monde va bientôt basculer dans le cataclysme de la Grande Guerre.
L'art de l'auteur, tout au long de ces récits captivants, est de faire complètement oublier sa documentation, pourtant solide. On est sous le charme de ce livre ensorceleur, véritable hymne à la Femme-femme.
Contrairement à leurs sours féministes, ces belles n'aspiraient pas à devenir l'égale de l'homme, elles voulaient seulement le séduire. Elles ne rêvaient pas de voter, mais de récolter les suffrages masculins autour de leur beauté (qui représentait souvent tout leur capital) et aussi de leurs talents, car elles en eurent de multiples, et de réels. C'était l'époque, si proche et pourtant si lointaine, de Messieurs Loubet et Fallière ; l'époque où les ministres portaient la barbe, où les notaires plaçaient des emprunts russes et où les hommes d'affaires usaient leur foie chez Maxim's et leur cour aux Folies Bergères.
Pêle-mêle, elles semblent se donner la main dans une ronde endiablée et gracieuse : Liane de Pougy, Meg Steinheil, Yvette Guilbert, Casque d'Or, Élisabeth Greffulhl, la Goulue, Anna de Noailles, les mondaines et les demi-mondaines, toutes assoiffées de luxe, emportées dans un tourbillon de plaisirs et dans une course à l'amour, comme si elles devinaient que leurs beaux jours sont comptés et que le monde va bientôt basculer dans le cataclysme de la Grande Guerre.
L'art de l'auteur, tout au long de ces récits captivants, est de faire complètement oublier sa documentation, pourtant solide. On est sous le charme de ce livre ensorceleur, véritable hymne à la Femme-femme.
Plus de cent cinquante jolies femmes, taille de guêpe, jupes bruissantes et chignons haut perchés, défilent en froufroutant dans ces évocations pleines de saveur, jalonnées d'anecdotes piquantes. On y fait plus ample connaissance avec les grandes courtisanes, les femmes de planches - danseuses, diseuses, théâtreuses, cantatrices célèbres et ballerines classiques - les femmes de salon - égéries et femmes de lettres.
Contrairement à leurs sours féministes, ces belles n'aspiraient pas à devenir l'égale de l'homme, elles voulaient seulement le séduire. Elles ne rêvaient pas de voter, mais de récolter les suffrages masculins autour de leur beauté (qui représentait souvent tout leur capital) et aussi de leurs talents, car elles en eurent de multiples, et de réels. C'était l'époque, si proche et pourtant si lointaine, de Messieurs Loubet et Fallière ; l'époque où les ministres portaient la barbe, où les notaires plaçaient des emprunts russes et où les hommes d'affaires usaient leur foie chez Maxim's et leur cour aux Folies Bergères.
Pêle-mêle, elles semblent se donner la main dans une ronde endiablée et gracieuse : Liane de Pougy, Meg Steinheil, Yvette Guilbert, Casque d'Or, Élisabeth Greffulhl, la Goulue, Anna de Noailles, les mondaines et les demi-mondaines, toutes assoiffées de luxe, emportées dans un tourbillon de plaisirs et dans une course à l'amour, comme si elles devinaient que leurs beaux jours sont comptés et que le monde va bientôt basculer dans le cataclysme de la Grande Guerre.
L'art de l'auteur, tout au long de ces récits captivants, est de faire complètement oublier sa documentation, pourtant solide. On est sous le charme de ce livre ensorceleur, véritable hymne à la Femme-femme.
Contrairement à leurs sours féministes, ces belles n'aspiraient pas à devenir l'égale de l'homme, elles voulaient seulement le séduire. Elles ne rêvaient pas de voter, mais de récolter les suffrages masculins autour de leur beauté (qui représentait souvent tout leur capital) et aussi de leurs talents, car elles en eurent de multiples, et de réels. C'était l'époque, si proche et pourtant si lointaine, de Messieurs Loubet et Fallière ; l'époque où les ministres portaient la barbe, où les notaires plaçaient des emprunts russes et où les hommes d'affaires usaient leur foie chez Maxim's et leur cour aux Folies Bergères.
Pêle-mêle, elles semblent se donner la main dans une ronde endiablée et gracieuse : Liane de Pougy, Meg Steinheil, Yvette Guilbert, Casque d'Or, Élisabeth Greffulhl, la Goulue, Anna de Noailles, les mondaines et les demi-mondaines, toutes assoiffées de luxe, emportées dans un tourbillon de plaisirs et dans une course à l'amour, comme si elles devinaient que leurs beaux jours sont comptés et que le monde va bientôt basculer dans le cataclysme de la Grande Guerre.
L'art de l'auteur, tout au long de ces récits captivants, est de faire complètement oublier sa documentation, pourtant solide. On est sous le charme de ce livre ensorceleur, véritable hymne à la Femme-femme.