AU MIROIR DE LA GUERRE.. Réflexions sur la guerre du Kosovo
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN2-402-12805-4
- EAN9782402128056
- Date de parution01/01/2000
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille481 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (L'Au...
Résumé
Lorsqu'après de trop longues tergiversations, les dirigeants occidentaux se sont décidés à agir militairement contre la guerre entreprise au Kosovo par Milosevic, une certaine gauche s'est levée, scandalisée. Pour la première fois depuis l'effondrement du communisme, ces nostalgiques ont dû répondre à des questions qu'ils tenaient à distance : D'où vient l'épuration ethnique ? La guerre, faut-il la faire ? Avec qui ? Et contre qui ? Qui sont les victimes ? Les résistants ? Ou encore, la sortie du communisme, ça donne quoi ? Le nouvel ordre (désordre) mondial, faut-il le réduire à la toute-puissance américaine ? Et ils nous ont assené des slogans défraîchis.
Tel un miroir, la bataille du Kosovo nous a révélé une certaine gauche identitaire dans la tête de laquelle le mur de Berlin n'est pas encore tombé. Avec cet essai qui s'ouvre sur une traversée du Kosovo d'après-guerre, Alain Brossat et Jean-Yves Potel leur opposent une réflexion lucide sur nos responsabilités nouvelles.
Tel un miroir, la bataille du Kosovo nous a révélé une certaine gauche identitaire dans la tête de laquelle le mur de Berlin n'est pas encore tombé. Avec cet essai qui s'ouvre sur une traversée du Kosovo d'après-guerre, Alain Brossat et Jean-Yves Potel leur opposent une réflexion lucide sur nos responsabilités nouvelles.
Lorsqu'après de trop longues tergiversations, les dirigeants occidentaux se sont décidés à agir militairement contre la guerre entreprise au Kosovo par Milosevic, une certaine gauche s'est levée, scandalisée. Pour la première fois depuis l'effondrement du communisme, ces nostalgiques ont dû répondre à des questions qu'ils tenaient à distance : D'où vient l'épuration ethnique ? La guerre, faut-il la faire ? Avec qui ? Et contre qui ? Qui sont les victimes ? Les résistants ? Ou encore, la sortie du communisme, ça donne quoi ? Le nouvel ordre (désordre) mondial, faut-il le réduire à la toute-puissance américaine ? Et ils nous ont assené des slogans défraîchis.
Tel un miroir, la bataille du Kosovo nous a révélé une certaine gauche identitaire dans la tête de laquelle le mur de Berlin n'est pas encore tombé. Avec cet essai qui s'ouvre sur une traversée du Kosovo d'après-guerre, Alain Brossat et Jean-Yves Potel leur opposent une réflexion lucide sur nos responsabilités nouvelles.
Tel un miroir, la bataille du Kosovo nous a révélé une certaine gauche identitaire dans la tête de laquelle le mur de Berlin n'est pas encore tombé. Avec cet essai qui s'ouvre sur une traversée du Kosovo d'après-guerre, Alain Brossat et Jean-Yves Potel leur opposent une réflexion lucide sur nos responsabilités nouvelles.