1314 : Philippe le Bel et l’affaire des brus. Nouvelle enquête sur une affaire d’Etat
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- Nombre de pages284
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-51518-2
- EAN9782336515182
- Date de parution13/03/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En avril 1314, les trois belles-filles du roi Philippe le Bel ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant plusieurs années, elles auraient entretenu une liaison avec des chevaliers au service des princes.
Pourtant, ce scandale survient après d'autres affaires du règne - la chute du Temple et plusieurs procès en hérésie - qui témoignent d'un climat peu favorable à une cour licencieuse.
Gaëlle Audéon s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par des hommes puissants pour diffamer les femmes de pouvoir.
Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les « rois maudits » et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les « rois maudits » et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
En avril 1314, les trois belles-filles du roi Philippe le Bel ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant plusieurs années, elles auraient entretenu une liaison avec des chevaliers au service des princes.
Pourtant, ce scandale survient après d'autres affaires du règne - la chute du Temple et plusieurs procès en hérésie - qui témoignent d'un climat peu favorable à une cour licencieuse.
Gaëlle Audéon s'est donc interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par des hommes puissants pour diffamer les femmes de pouvoir.
Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les « rois maudits » et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
Au terme d'une enquête minutieuse, elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les « rois maudits » et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.