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Eric Denécé

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Mettez le feu au IIIe Reich !
La Seconde Guerre mondiale a été le véritable laboratoire de ce que nous appelons aujourd'hui les " forces spéciales ". Si tous les belligérants ont mis sur pied des unités de commandos, de sabotage ou de guérilla, ce sont les Britanniques qui en ont créé le plus grand nombre et souvent les plus originales. En effet, l'armée de Sa Majesté a toujours manifesté un talent inné pour réunir en temps de guerre des soldats peu orthodoxes au sein de formations particulières.
C'est ce qu'elle fit à partir de l'été 1940, face à l'Allemagne en Europe et en Afrique du Nord, et au Japon, en Asie du Sud-Est en créant plus d'une trentaine d'unités " spéciales ", dépendant des services spéciaux, de l'état-major général ou des commandants de théâtres, chargées de l'assistance aux mouvements de résistance, de raids de destruction stratégiques ou de reconnaissances et d'assauts difficiles en soutien des opérations militaires.
Leurs effectifs étaient très variables : certaines unités n'atteignaient pas une vingtaine d'hommes, d'autres dépassaient le millier. Leurs modes d'action étaient également très variés : pédestres, aéroportés, nautiques, motorisés, etc. Cependant, toutes avaient un but similaire : mener une guerre non conventionnelle contre les forces de l'Axe dans laquelle tous les coups étaient permis.
C'est ce qu'elle fit à partir de l'été 1940, face à l'Allemagne en Europe et en Afrique du Nord, et au Japon, en Asie du Sud-Est en créant plus d'une trentaine d'unités " spéciales ", dépendant des services spéciaux, de l'état-major général ou des commandants de théâtres, chargées de l'assistance aux mouvements de résistance, de raids de destruction stratégiques ou de reconnaissances et d'assauts difficiles en soutien des opérations militaires.
Leurs effectifs étaient très variables : certaines unités n'atteignaient pas une vingtaine d'hommes, d'autres dépassaient le millier. Leurs modes d'action étaient également très variés : pédestres, aéroportés, nautiques, motorisés, etc. Cependant, toutes avaient un but similaire : mener une guerre non conventionnelle contre les forces de l'Axe dans laquelle tous les coups étaient permis.
La Seconde Guerre mondiale a été le véritable laboratoire de ce que nous appelons aujourd'hui les " forces spéciales ". Si tous les belligérants ont mis sur pied des unités de commandos, de sabotage ou de guérilla, ce sont les Britanniques qui en ont créé le plus grand nombre et souvent les plus originales. En effet, l'armée de Sa Majesté a toujours manifesté un talent inné pour réunir en temps de guerre des soldats peu orthodoxes au sein de formations particulières.
C'est ce qu'elle fit à partir de l'été 1940, face à l'Allemagne en Europe et en Afrique du Nord, et au Japon, en Asie du Sud-Est en créant plus d'une trentaine d'unités " spéciales ", dépendant des services spéciaux, de l'état-major général ou des commandants de théâtres, chargées de l'assistance aux mouvements de résistance, de raids de destruction stratégiques ou de reconnaissances et d'assauts difficiles en soutien des opérations militaires.
Leurs effectifs étaient très variables : certaines unités n'atteignaient pas une vingtaine d'hommes, d'autres dépassaient le millier. Leurs modes d'action étaient également très variés : pédestres, aéroportés, nautiques, motorisés, etc. Cependant, toutes avaient un but similaire : mener une guerre non conventionnelle contre les forces de l'Axe dans laquelle tous les coups étaient permis.
C'est ce qu'elle fit à partir de l'été 1940, face à l'Allemagne en Europe et en Afrique du Nord, et au Japon, en Asie du Sud-Est en créant plus d'une trentaine d'unités " spéciales ", dépendant des services spéciaux, de l'état-major général ou des commandants de théâtres, chargées de l'assistance aux mouvements de résistance, de raids de destruction stratégiques ou de reconnaissances et d'assauts difficiles en soutien des opérations militaires.
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