L'école était le grand espoir de la méritocratie. Elle est en train de devenir son piège.
Dans un monde où l'IA résout des problèmes cliniques, code mieux qu'un ingénieur, et rédige des dissertations plus rapidement qu'un candidat au bac, le système éducatif semble dépassé.
Laurent Alexandre et Olivier Babeau unissent leurs voix pour lancer une alerte : les études telles qu'on les connaît sont devenues contre-productives.
Non parce qu'apprendre serait inutile, mais parce que l'institution scolaire, lente, hiérarchique et figée, forme pour un monde qui n'existe plus.
Les auteurs dénoncent l'illusion des diplômes, la lenteur des universités, la déconnexion entre l'enseignement académique et les compétences demandées dans l'économie numérique. Ils montrent comment les autodidactes, les curieux, les rapides, les intuitifs, ceux qui apprennent "hors-système", prennent une longueur d'avance dans un monde où la vitesse d'adaptation vaut plus qu'un master.
Ce n'est pas un pamphlet contre le savoir, mais un plaidoyer pour une réinvention radicale de l'apprentissage, invitant à déscolariser l'intelligence, à ne plus confondre diplôme et compétence, et à se préparer à une société post-éducative, où apprendre sera permanent, libre, et profondément personnel.
Un livre décapant, provocateur, salutaire.
L'école était le grand espoir de la méritocratie. Elle est en train de devenir son piège.
Dans un monde où l'IA résout des problèmes cliniques, code mieux qu'un ingénieur, et rédige des dissertations plus rapidement qu'un candidat au bac, le système éducatif semble dépassé.
Laurent Alexandre et Olivier Babeau unissent leurs voix pour lancer une alerte : les études telles qu'on les connaît sont devenues contre-productives.
Non parce qu'apprendre serait inutile, mais parce que l'institution scolaire, lente, hiérarchique et figée, forme pour un monde qui n'existe plus.
Les auteurs dénoncent l'illusion des diplômes, la lenteur des universités, la déconnexion entre l'enseignement académique et les compétences demandées dans l'économie numérique. Ils montrent comment les autodidactes, les curieux, les rapides, les intuitifs, ceux qui apprennent "hors-système", prennent une longueur d'avance dans un monde où la vitesse d'adaptation vaut plus qu'un master.
Ce n'est pas un pamphlet contre le savoir, mais un plaidoyer pour une réinvention radicale de l'apprentissage, invitant à déscolariser l'intelligence, à ne plus confondre diplôme et compétence, et à se préparer à une société post-éducative, où apprendre sera permanent, libre, et profondément personnel.
Un livre décapant, provocateur, salutaire.