Au cour du jugement esthétique, pointe Hume, réside un paradoxe. Nous constatons facilement que les goûts varient selon les époques, les lieux et les individus ; et pourtant nous ne pouvons nous contenter d'une position entièrement relativiste : tous les goûts, jugeons-nous également, ne se valent pas. Comment concilier ces deux observations ? Et, s'il existe un « bon goût », comment le reconnaître ?
En GF PHILO', le texte de l'ouvre est donné à lire, dans son intégralité, sur la page de droite.
En regard, des extraits tirés
d'autres ouvres viennent l'éclairer, le questionner, le prolonger.
Au cour du jugement esthétique, pointe Hume, réside un paradoxe. Nous constatons facilement que les goûts varient selon les époques, les lieux et les individus ; et pourtant nous ne pouvons nous contenter d'une position entièrement relativiste : tous les goûts, jugeons-nous également, ne se valent pas. Comment concilier ces deux observations ? Et, s'il existe un « bon goût », comment le reconnaître ?
En GF PHILO', le texte de l'ouvre est donné à lire, dans son intégralité, sur la page de droite.
En regard, des extraits tirés
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