Henri Charaux, érudit issu d'une famille de négociants, d'hommes de lettres et d'ecclésiastiques mussipontains rédigea à la fin du XIXe s., une monumentale étude sur l'histoire de Pont-à-Mousson en trois volumes totalisant près de 1900 pages et intitulée simplement " Récits mussipontains " qui couvre la période allant de l'Antiquité à la Révolution. Influencé par les copistes du Moyen Age, il illustre son oeuvre de nombreux dessins et lettrines à l'image des enluminures d'autrefois qui agrémentent avec bonheur le texte.
Le présent ouvrage correspond seulement aux dix premiers récits du premier tome de cette remarquable somme restée manuscrite et parvenue jusqu'à nous grâce à l'estime et au respect qu'elle inspira à ses différents dépositaires. L'auteur s'inspire du modèle historique appelé Annales ou Chroniques, modèle dominant depuis l'Antiquité et remis au goût du jour par la publication des Chroniques messines en 1842.
Son but était de rendre attachant le passé de sa ville qui fut une des capitales du Barrois à une population en rapide évolution. C'est à cette intention qu'il tente à rendre moins lointaine avec un talent empreint d'une certaine nostalgie une civilisation séculaire qui s'efface rapidement sous les chocs conjugués des idées de la Révolution française, des bouleversements de la Révolution industrielle et de la menace allemande toute proche.
Henri Charaux, érudit issu d'une famille de négociants, d'hommes de lettres et d'ecclésiastiques mussipontains rédigea à la fin du XIXe s., une monumentale étude sur l'histoire de Pont-à-Mousson en trois volumes totalisant près de 1900 pages et intitulée simplement " Récits mussipontains " qui couvre la période allant de l'Antiquité à la Révolution. Influencé par les copistes du Moyen Age, il illustre son oeuvre de nombreux dessins et lettrines à l'image des enluminures d'autrefois qui agrémentent avec bonheur le texte.
Le présent ouvrage correspond seulement aux dix premiers récits du premier tome de cette remarquable somme restée manuscrite et parvenue jusqu'à nous grâce à l'estime et au respect qu'elle inspira à ses différents dépositaires. L'auteur s'inspire du modèle historique appelé Annales ou Chroniques, modèle dominant depuis l'Antiquité et remis au goût du jour par la publication des Chroniques messines en 1842.
Son but était de rendre attachant le passé de sa ville qui fut une des capitales du Barrois à une population en rapide évolution. C'est à cette intention qu'il tente à rendre moins lointaine avec un talent empreint d'une certaine nostalgie une civilisation séculaire qui s'efface rapidement sous les chocs conjugués des idées de la Révolution française, des bouleversements de la Révolution industrielle et de la menace allemande toute proche.