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Ecobiographies en Anthropocène
L'entrée dans l'Anthropocène bouleverse notre rapport au monde, ébranle nos certitudes et questionne nos catégories de pensée. Cet ouvrage, préfacé par Cécile Renouard, donne voix à 17 enseignantes-chercheur-e-s de l'enseignement supérieur qui partagent, sous la forme d'un témoignage écobiographique, la façon dont l'interdépendance au monde vivant s'est nouée au fil de leur existence, souvent depuis l'enfance, puis comment l'urgence écologique s'est invitée dans leur vie et s'est traduite dans leurs pratiques d'enseignement et de recherche.
Ce recueil de récits rédigés à la première personne pointe vers le "nous" de l'engagement et de la responsabilité collective, mais également le "nous" élargi de l'oikos, de notre appartenance au vivant. Il questionne les pratiques de recherche et d'enseignement universitaire dominantes et ouvre des pistes de renouvellement fécondes, tant théoriques que pratiques.
Ce recueil de récits rédigés à la première personne pointe vers le "nous" de l'engagement et de la responsabilité collective, mais également le "nous" élargi de l'oikos, de notre appartenance au vivant. Il questionne les pratiques de recherche et d'enseignement universitaire dominantes et ouvre des pistes de renouvellement fécondes, tant théoriques que pratiques.
L'entrée dans l'Anthropocène bouleverse notre rapport au monde, ébranle nos certitudes et questionne nos catégories de pensée. Cet ouvrage, préfacé par Cécile Renouard, donne voix à 17 enseignantes-chercheur-e-s de l'enseignement supérieur qui partagent, sous la forme d'un témoignage écobiographique, la façon dont l'interdépendance au monde vivant s'est nouée au fil de leur existence, souvent depuis l'enfance, puis comment l'urgence écologique s'est invitée dans leur vie et s'est traduite dans leurs pratiques d'enseignement et de recherche.
Ce recueil de récits rédigés à la première personne pointe vers le "nous" de l'engagement et de la responsabilité collective, mais également le "nous" élargi de l'oikos, de notre appartenance au vivant. Il questionne les pratiques de recherche et d'enseignement universitaire dominantes et ouvre des pistes de renouvellement fécondes, tant théoriques que pratiques.
Ce recueil de récits rédigés à la première personne pointe vers le "nous" de l'engagement et de la responsabilité collective, mais également le "nous" élargi de l'oikos, de notre appartenance au vivant. Il questionne les pratiques de recherche et d'enseignement universitaire dominantes et ouvre des pistes de renouvellement fécondes, tant théoriques que pratiques.
Les livres de Geneviève Fabry
23,50 €