"A toi, belle inconnue, que le hasard pressa Jusqu’à ma tristesse, que mon esprit nomade A remarqué trop tard, qui le temps d’une oeillade Ne l’eut pour réagir. Et le bonheur passa… Je t’écris ces lignes que l’émoi t’adressa Sans jamais t’atteindre. Me revoilà maussade?: Mon coeur reste muet, ma langue bat chamade?; Mon soupir l’emporte, c’est souvent comme ça… ".
"A toi, belle inconnue, que le hasard pressa Jusqu’à ma tristesse, que mon esprit nomade A remarqué trop tard, qui le temps d’une oeillade Ne l’eut pour réagir. Et le bonheur passa… Je t’écris ces lignes que l’émoi t’adressa Sans jamais t’atteindre. Me revoilà maussade?: Mon coeur reste muet, ma langue bat chamade?; Mon soupir l’emporte, c’est souvent comme ça… ".