Dernière sortie
Cahiers du Cercle Nicolas Andry
Le risque et la complication
Il y a 17 ans naissait la collection les Cahiers du Cercle Nicolas Andry, des fondateurs du Cercle : Frédéric Dubrana, Alain Fabre, Pascal Gleyze, Jean-Louis Husson, Dominique Le Nen, Alain-Charles Masquelet et Pierre-Olivier Pinelli, trois sont toujours actifs, Frédéric, Pascal et Pierre-Olivier. Chez l'éditeur Sauramps Médical, Dominique Torreilles, directeur de la collection a laissé sa place à Yves Lefrand et Myriam Malvaut a été le fil rouge de la collection en coordonnant les 16 livres.
Les hommes passent, mais la collection perdure dans l'improbable constance de cette insolite expérience. La table ronde participative cette année se décline en deux temps forts : Le risque et la complication - L'insatisfaction — Aux origines du mal. Les communications s'effeuillent, mais il faut savoir s'arrêter pour parcourir un point d'intérêt, dans la première communication du livre Histoire de la chirurgie en France : un "no woman's land" ? Agathe Yvinou chirurgienne écrit : "Pourtant, depuis 50 ans, la chirurgie se féminise, lentement mais sûrement...
seulement 26 % de femmes en 2014. Une étude canadienne... a conclu que les patients traités par des chirurgiennes présentaient une diminution faible, mais statistiquement significative de la mortalité à 30 jours par rapport à ceux traités par des chirurgiens." Remercions ici la SOFCOT qui depuis 17 ans nous ouvre un espace de communication à nul autre pareil, un espace qu'Alain Charles Masquelet appelait "un lieu privilégié où l'on cultive l'utopie et la liberté de pensée".
Remercions, aussi, les partenaires financiers qui nous ont aidés à l'impression de ce Cahier : la Société Orthopédique de l'Ouest (SOO), la Société française de l'épaule et du coude SoFEC), la Société française de l'orthopédie et traumatologie (SOFCOT) et Mr Thierry Dambreville (agent commercial). Enfin, mille mercis et plein de bises à Me Jocelyne Cormier sans qui la publication de ce cahier n'aurait pas été possible.
- Frédéric Dubrana
Les hommes passent, mais la collection perdure dans l'improbable constance de cette insolite expérience. La table ronde participative cette année se décline en deux temps forts : Le risque et la complication - L'insatisfaction — Aux origines du mal. Les communications s'effeuillent, mais il faut savoir s'arrêter pour parcourir un point d'intérêt, dans la première communication du livre Histoire de la chirurgie en France : un "no woman's land" ? Agathe Yvinou chirurgienne écrit : "Pourtant, depuis 50 ans, la chirurgie se féminise, lentement mais sûrement...
seulement 26 % de femmes en 2014. Une étude canadienne... a conclu que les patients traités par des chirurgiennes présentaient une diminution faible, mais statistiquement significative de la mortalité à 30 jours par rapport à ceux traités par des chirurgiens." Remercions ici la SOFCOT qui depuis 17 ans nous ouvre un espace de communication à nul autre pareil, un espace qu'Alain Charles Masquelet appelait "un lieu privilégié où l'on cultive l'utopie et la liberté de pensée".
Remercions, aussi, les partenaires financiers qui nous ont aidés à l'impression de ce Cahier : la Société Orthopédique de l'Ouest (SOO), la Société française de l'épaule et du coude SoFEC), la Société française de l'orthopédie et traumatologie (SOFCOT) et Mr Thierry Dambreville (agent commercial). Enfin, mille mercis et plein de bises à Me Jocelyne Cormier sans qui la publication de ce cahier n'aurait pas été possible.
- Frédéric Dubrana
Il y a 17 ans naissait la collection les Cahiers du Cercle Nicolas Andry, des fondateurs du Cercle : Frédéric Dubrana, Alain Fabre, Pascal Gleyze, Jean-Louis Husson, Dominique Le Nen, Alain-Charles Masquelet et Pierre-Olivier Pinelli, trois sont toujours actifs, Frédéric, Pascal et Pierre-Olivier. Chez l'éditeur Sauramps Médical, Dominique Torreilles, directeur de la collection a laissé sa place à Yves Lefrand et Myriam Malvaut a été le fil rouge de la collection en coordonnant les 16 livres.
Les hommes passent, mais la collection perdure dans l'improbable constance de cette insolite expérience. La table ronde participative cette année se décline en deux temps forts : Le risque et la complication - L'insatisfaction — Aux origines du mal. Les communications s'effeuillent, mais il faut savoir s'arrêter pour parcourir un point d'intérêt, dans la première communication du livre Histoire de la chirurgie en France : un "no woman's land" ? Agathe Yvinou chirurgienne écrit : "Pourtant, depuis 50 ans, la chirurgie se féminise, lentement mais sûrement...
seulement 26 % de femmes en 2014. Une étude canadienne... a conclu que les patients traités par des chirurgiennes présentaient une diminution faible, mais statistiquement significative de la mortalité à 30 jours par rapport à ceux traités par des chirurgiens." Remercions ici la SOFCOT qui depuis 17 ans nous ouvre un espace de communication à nul autre pareil, un espace qu'Alain Charles Masquelet appelait "un lieu privilégié où l'on cultive l'utopie et la liberté de pensée".
Remercions, aussi, les partenaires financiers qui nous ont aidés à l'impression de ce Cahier : la Société Orthopédique de l'Ouest (SOO), la Société française de l'épaule et du coude SoFEC), la Société française de l'orthopédie et traumatologie (SOFCOT) et Mr Thierry Dambreville (agent commercial). Enfin, mille mercis et plein de bises à Me Jocelyne Cormier sans qui la publication de ce cahier n'aurait pas été possible.
- Frédéric Dubrana
Les hommes passent, mais la collection perdure dans l'improbable constance de cette insolite expérience. La table ronde participative cette année se décline en deux temps forts : Le risque et la complication - L'insatisfaction — Aux origines du mal. Les communications s'effeuillent, mais il faut savoir s'arrêter pour parcourir un point d'intérêt, dans la première communication du livre Histoire de la chirurgie en France : un "no woman's land" ? Agathe Yvinou chirurgienne écrit : "Pourtant, depuis 50 ans, la chirurgie se féminise, lentement mais sûrement...
seulement 26 % de femmes en 2014. Une étude canadienne... a conclu que les patients traités par des chirurgiennes présentaient une diminution faible, mais statistiquement significative de la mortalité à 30 jours par rapport à ceux traités par des chirurgiens." Remercions ici la SOFCOT qui depuis 17 ans nous ouvre un espace de communication à nul autre pareil, un espace qu'Alain Charles Masquelet appelait "un lieu privilégié où l'on cultive l'utopie et la liberté de pensée".
Remercions, aussi, les partenaires financiers qui nous ont aidés à l'impression de ce Cahier : la Société Orthopédique de l'Ouest (SOO), la Société française de l'épaule et du coude SoFEC), la Société française de l'orthopédie et traumatologie (SOFCOT) et Mr Thierry Dambreville (agent commercial). Enfin, mille mercis et plein de bises à Me Jocelyne Cormier sans qui la publication de ce cahier n'aurait pas été possible.
- Frédéric Dubrana
