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Stéphane Courtois

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Varsovie 1944
L'insurrection de Varsovie (août-octobre 1944) racontée par un de ses acteurs.
1er août 1944, Varsovie se soulève contre les nazis. Pendant deux mois, les insurgés vont affronter les plus impitoyables unités Waffen-SS. Les Polonais ne disposent que de quelques fusils et grenades face aux bombardiers, canons, mitrailleuses, lance-flammes et mortiers ennemis. Staline, dont les troupes stationnent sur l'autre rive de la Vistule, laisse cyniquement les mains libres à Hitler.
Avec ses camarades, Georges Rencki, 18 ans, se bat rue par rue, immeuble par immeuble durant ces longues semaines. Affamés, décimés, abandonnés des alliés anglo-saxons, les "Polonais libres" vont tenir jusqu'au début du mois d'octobre. Lorsqu'ils rendent les armes, la bataille a fait 200.000 morts, et Varsovie est détruite. Avec les derniers combattants, Georges Rencki, est déporté dans un camp de prisonniers de guerre en Allemagne. Depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, il a été le témoin du sort impitoyable réservé à sa patrie par les nazis d'une part, et les Soviétiques d'autre part.
Son père, membre de l'intelligentsia polonaise, a disparu à Katyn, victime du NKVD. Installé à Varsovie avec sa mère et sa petite sour entre 1940 et 1944, Georges Rencki affronte la terreur nazie. Alors que les Juifs sont voués à l'extermination, les Polonais non-juifs doivent être réduits en esclavage, et les élites et l'identité nationale polonaises éradiquées. Engagé dans la résistance à quatorze ans, Georges Rencki prend part à des actions armées tout en contribuant à l'édition d'une revue clandestine sans pareille dans l'Europe occupée.
Avec ses amis du lycée - devenu clandestin depuis que les jeunes Polonais n'ont plus droit à l'éducation - il trouve également dans l'autodérision l'antidote indispensable à la peur qui le hante. C'est ce même homme qui, réfugié en France après la soviétisation de la Pologne en 1945, deviendra un pionnier de la construction européenne, proche - depuis sa jeunesse jusqu'à sa retraite - des noms les plus connus de cette aventure (de Paul-Henri Spaak à Jacques Delors).
De son expérience à Varsovie, il parle peu, ou de manière allusive, devant ses deux fils, témoins d'une mémoire étrangement " cadenassée " et des blessures invisibles de leur père. C'est à sa mort, en 2017, que l'un des deux, Julien, découvre une série de notes éparses, certaines détaillées, d'autres composées de quelques mots, qui constituaient la base à partir de laquelle Georges Rencki avait entrepris de rédiger ses souvenirs. Ce sont ces notes, réunies, enrichies et mises en perspective par Julien Rencki, qui ont permis de recomposer ce journal stupéfiant, véritable témoignage pour l'histoire et rappel du sacrifice étouffé de la résistance polonaise.
Ce document permet aussi de découvrir la figure d'un grand fédéraliste dont le parcours personnel témoigne des ressors fondamentaux qui animaient les pères de l'Europe. C'est un livre d'histoire, certes, mais c'est aussi et surtout un livre pour l'histoire.
Avec ses camarades, Georges Rencki, 18 ans, se bat rue par rue, immeuble par immeuble durant ces longues semaines. Affamés, décimés, abandonnés des alliés anglo-saxons, les "Polonais libres" vont tenir jusqu'au début du mois d'octobre. Lorsqu'ils rendent les armes, la bataille a fait 200.000 morts, et Varsovie est détruite. Avec les derniers combattants, Georges Rencki, est déporté dans un camp de prisonniers de guerre en Allemagne. Depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, il a été le témoin du sort impitoyable réservé à sa patrie par les nazis d'une part, et les Soviétiques d'autre part.
Son père, membre de l'intelligentsia polonaise, a disparu à Katyn, victime du NKVD. Installé à Varsovie avec sa mère et sa petite sour entre 1940 et 1944, Georges Rencki affronte la terreur nazie. Alors que les Juifs sont voués à l'extermination, les Polonais non-juifs doivent être réduits en esclavage, et les élites et l'identité nationale polonaises éradiquées. Engagé dans la résistance à quatorze ans, Georges Rencki prend part à des actions armées tout en contribuant à l'édition d'une revue clandestine sans pareille dans l'Europe occupée.
Avec ses amis du lycée - devenu clandestin depuis que les jeunes Polonais n'ont plus droit à l'éducation - il trouve également dans l'autodérision l'antidote indispensable à la peur qui le hante. C'est ce même homme qui, réfugié en France après la soviétisation de la Pologne en 1945, deviendra un pionnier de la construction européenne, proche - depuis sa jeunesse jusqu'à sa retraite - des noms les plus connus de cette aventure (de Paul-Henri Spaak à Jacques Delors).
De son expérience à Varsovie, il parle peu, ou de manière allusive, devant ses deux fils, témoins d'une mémoire étrangement " cadenassée " et des blessures invisibles de leur père. C'est à sa mort, en 2017, que l'un des deux, Julien, découvre une série de notes éparses, certaines détaillées, d'autres composées de quelques mots, qui constituaient la base à partir de laquelle Georges Rencki avait entrepris de rédiger ses souvenirs. Ce sont ces notes, réunies, enrichies et mises en perspective par Julien Rencki, qui ont permis de recomposer ce journal stupéfiant, véritable témoignage pour l'histoire et rappel du sacrifice étouffé de la résistance polonaise.
Ce document permet aussi de découvrir la figure d'un grand fédéraliste dont le parcours personnel témoigne des ressors fondamentaux qui animaient les pères de l'Europe. C'est un livre d'histoire, certes, mais c'est aussi et surtout un livre pour l'histoire.
L'insurrection de Varsovie (août-octobre 1944) racontée par un de ses acteurs.
1er août 1944, Varsovie se soulève contre les nazis. Pendant deux mois, les insurgés vont affronter les plus impitoyables unités Waffen-SS. Les Polonais ne disposent que de quelques fusils et grenades face aux bombardiers, canons, mitrailleuses, lance-flammes et mortiers ennemis. Staline, dont les troupes stationnent sur l'autre rive de la Vistule, laisse cyniquement les mains libres à Hitler.
Avec ses camarades, Georges Rencki, 18 ans, se bat rue par rue, immeuble par immeuble durant ces longues semaines. Affamés, décimés, abandonnés des alliés anglo-saxons, les "Polonais libres" vont tenir jusqu'au début du mois d'octobre. Lorsqu'ils rendent les armes, la bataille a fait 200.000 morts, et Varsovie est détruite. Avec les derniers combattants, Georges Rencki, est déporté dans un camp de prisonniers de guerre en Allemagne. Depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, il a été le témoin du sort impitoyable réservé à sa patrie par les nazis d'une part, et les Soviétiques d'autre part.
Son père, membre de l'intelligentsia polonaise, a disparu à Katyn, victime du NKVD. Installé à Varsovie avec sa mère et sa petite sour entre 1940 et 1944, Georges Rencki affronte la terreur nazie. Alors que les Juifs sont voués à l'extermination, les Polonais non-juifs doivent être réduits en esclavage, et les élites et l'identité nationale polonaises éradiquées. Engagé dans la résistance à quatorze ans, Georges Rencki prend part à des actions armées tout en contribuant à l'édition d'une revue clandestine sans pareille dans l'Europe occupée.
Avec ses amis du lycée - devenu clandestin depuis que les jeunes Polonais n'ont plus droit à l'éducation - il trouve également dans l'autodérision l'antidote indispensable à la peur qui le hante. C'est ce même homme qui, réfugié en France après la soviétisation de la Pologne en 1945, deviendra un pionnier de la construction européenne, proche - depuis sa jeunesse jusqu'à sa retraite - des noms les plus connus de cette aventure (de Paul-Henri Spaak à Jacques Delors).
De son expérience à Varsovie, il parle peu, ou de manière allusive, devant ses deux fils, témoins d'une mémoire étrangement " cadenassée " et des blessures invisibles de leur père. C'est à sa mort, en 2017, que l'un des deux, Julien, découvre une série de notes éparses, certaines détaillées, d'autres composées de quelques mots, qui constituaient la base à partir de laquelle Georges Rencki avait entrepris de rédiger ses souvenirs. Ce sont ces notes, réunies, enrichies et mises en perspective par Julien Rencki, qui ont permis de recomposer ce journal stupéfiant, véritable témoignage pour l'histoire et rappel du sacrifice étouffé de la résistance polonaise.
Ce document permet aussi de découvrir la figure d'un grand fédéraliste dont le parcours personnel témoigne des ressors fondamentaux qui animaient les pères de l'Europe. C'est un livre d'histoire, certes, mais c'est aussi et surtout un livre pour l'histoire.
Avec ses camarades, Georges Rencki, 18 ans, se bat rue par rue, immeuble par immeuble durant ces longues semaines. Affamés, décimés, abandonnés des alliés anglo-saxons, les "Polonais libres" vont tenir jusqu'au début du mois d'octobre. Lorsqu'ils rendent les armes, la bataille a fait 200.000 morts, et Varsovie est détruite. Avec les derniers combattants, Georges Rencki, est déporté dans un camp de prisonniers de guerre en Allemagne. Depuis le début de la Seconde Guerre mondiale, il a été le témoin du sort impitoyable réservé à sa patrie par les nazis d'une part, et les Soviétiques d'autre part.
Son père, membre de l'intelligentsia polonaise, a disparu à Katyn, victime du NKVD. Installé à Varsovie avec sa mère et sa petite sour entre 1940 et 1944, Georges Rencki affronte la terreur nazie. Alors que les Juifs sont voués à l'extermination, les Polonais non-juifs doivent être réduits en esclavage, et les élites et l'identité nationale polonaises éradiquées. Engagé dans la résistance à quatorze ans, Georges Rencki prend part à des actions armées tout en contribuant à l'édition d'une revue clandestine sans pareille dans l'Europe occupée.
Avec ses amis du lycée - devenu clandestin depuis que les jeunes Polonais n'ont plus droit à l'éducation - il trouve également dans l'autodérision l'antidote indispensable à la peur qui le hante. C'est ce même homme qui, réfugié en France après la soviétisation de la Pologne en 1945, deviendra un pionnier de la construction européenne, proche - depuis sa jeunesse jusqu'à sa retraite - des noms les plus connus de cette aventure (de Paul-Henri Spaak à Jacques Delors).
De son expérience à Varsovie, il parle peu, ou de manière allusive, devant ses deux fils, témoins d'une mémoire étrangement " cadenassée " et des blessures invisibles de leur père. C'est à sa mort, en 2017, que l'un des deux, Julien, découvre une série de notes éparses, certaines détaillées, d'autres composées de quelques mots, qui constituaient la base à partir de laquelle Georges Rencki avait entrepris de rédiger ses souvenirs. Ce sont ces notes, réunies, enrichies et mises en perspective par Julien Rencki, qui ont permis de recomposer ce journal stupéfiant, véritable témoignage pour l'histoire et rappel du sacrifice étouffé de la résistance polonaise.
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