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Chrystelle Fortineau-Brémond

Dernière sortie
La représentation dans la recherche en langues et cultures étrangères
La représentation a parfois été qualifiée de « concept flou ». Sa supposée faillite dans le champ politique est vigoureusement dénoncée et elle est régulièrement déclarée en crise depuis Platon. Elle n'en reste pas moins une notion dynamique et complexe. Les usages actuels de ce terme indiquent bien l'importance de ce mode spécifique de rapport au réel. Se représenter, c'est « regarder autrement » (Guenancia, 2009).
Face à l'expérience immédiate, la représentation instaure un type de relation alternatif, reposant sur la mise à distance du monde, qui permet de s'en dégager et de le rendre intelligible. Cette distance fait écho à la position singulière des chercheurs en langues et cultures étrangères : eux qui conjuguent l'expérience intime des langues et cultures qu'ils étudient avec le point de vue de l'étranger ou de l'exilé ; eux qui font du « penser ailleurs » (Lapierre, 2006) le cour de leur activité.
L'ouvrage met en avant la diversité des aires linguistico-culturelles (aires hispanophone, lusophone et arabophone, mondes germanique et chinois) et des disciplines (littérature, histoire, science politique, analyse du discours, linguistique, arts de l'image). Mais il écarte la logique de structuration par discipline ou par aire géographique en procédant par glissements thématiques pour mieux faire apparaître le dense réseau d'échanges, de correspondances et de mises en contraste qui s'établit entre les études ici rassemblées.
Face à l'expérience immédiate, la représentation instaure un type de relation alternatif, reposant sur la mise à distance du monde, qui permet de s'en dégager et de le rendre intelligible. Cette distance fait écho à la position singulière des chercheurs en langues et cultures étrangères : eux qui conjuguent l'expérience intime des langues et cultures qu'ils étudient avec le point de vue de l'étranger ou de l'exilé ; eux qui font du « penser ailleurs » (Lapierre, 2006) le cour de leur activité.
L'ouvrage met en avant la diversité des aires linguistico-culturelles (aires hispanophone, lusophone et arabophone, mondes germanique et chinois) et des disciplines (littérature, histoire, science politique, analyse du discours, linguistique, arts de l'image). Mais il écarte la logique de structuration par discipline ou par aire géographique en procédant par glissements thématiques pour mieux faire apparaître le dense réseau d'échanges, de correspondances et de mises en contraste qui s'établit entre les études ici rassemblées.
La représentation a parfois été qualifiée de « concept flou ». Sa supposée faillite dans le champ politique est vigoureusement dénoncée et elle est régulièrement déclarée en crise depuis Platon. Elle n'en reste pas moins une notion dynamique et complexe. Les usages actuels de ce terme indiquent bien l'importance de ce mode spécifique de rapport au réel. Se représenter, c'est « regarder autrement » (Guenancia, 2009).
Face à l'expérience immédiate, la représentation instaure un type de relation alternatif, reposant sur la mise à distance du monde, qui permet de s'en dégager et de le rendre intelligible. Cette distance fait écho à la position singulière des chercheurs en langues et cultures étrangères : eux qui conjuguent l'expérience intime des langues et cultures qu'ils étudient avec le point de vue de l'étranger ou de l'exilé ; eux qui font du « penser ailleurs » (Lapierre, 2006) le cour de leur activité.
L'ouvrage met en avant la diversité des aires linguistico-culturelles (aires hispanophone, lusophone et arabophone, mondes germanique et chinois) et des disciplines (littérature, histoire, science politique, analyse du discours, linguistique, arts de l'image). Mais il écarte la logique de structuration par discipline ou par aire géographique en procédant par glissements thématiques pour mieux faire apparaître le dense réseau d'échanges, de correspondances et de mises en contraste qui s'établit entre les études ici rassemblées.
Face à l'expérience immédiate, la représentation instaure un type de relation alternatif, reposant sur la mise à distance du monde, qui permet de s'en dégager et de le rendre intelligible. Cette distance fait écho à la position singulière des chercheurs en langues et cultures étrangères : eux qui conjuguent l'expérience intime des langues et cultures qu'ils étudient avec le point de vue de l'étranger ou de l'exilé ; eux qui font du « penser ailleurs » (Lapierre, 2006) le cour de leur activité.
L'ouvrage met en avant la diversité des aires linguistico-culturelles (aires hispanophone, lusophone et arabophone, mondes germanique et chinois) et des disciplines (littérature, histoire, science politique, analyse du discours, linguistique, arts de l'image). Mais il écarte la logique de structuration par discipline ou par aire géographique en procédant par glissements thématiques pour mieux faire apparaître le dense réseau d'échanges, de correspondances et de mises en contraste qui s'établit entre les études ici rassemblées.
Les livres de Chrystelle Fortineau-Brémond

La représentation dans la recherche en langues et cultures étrangères. Regarder autrement, regarder ailleurs
Chrystelle Fortineau-Brémond
Grand Format
25,00 €

La corrélation en espagnol contemporain. Morphologie, syntaxe et sémantique
Chrystelle Fortineau-Brémond
18,00 €

Le morphème en question. Exemples multilingues d'analyse submorphologique
Chrystelle Fortineau-Brémond, Stéphane Pagès
Grand Format
16,00 €

Le signifiant sens dessus dessous. Submorphémie et chronoanalyse en linguistique hispanique
Elodie Blestel, Chrystelle Fortineau-Brémond
Grand Format
27,00 €

Compter en langues étrangères. Du français vers l'anglais, l'espagnol et l'allemand
Joël Brémond, Catherine Collin, Chrystelle Fortineau-Brémond, Hervé Quintin
20,00 €