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Vincent Corréa
Passionné d'histoire, de politique, de sciences humaines et d'art, Vincent Corréa, à travers ce roman, a voulu rendre hommage à l'esprit chevaleresque des nobles peuples autochtones qui occupent des régions sujettes à des convoitises à cause des ressources naturelles de leur territoire. Il souhaite aussi apporter une note résolument optimiste à ces populations qui trop souvent s'affrontent sur des terrains où s'enlise leur raison et où leurs passions entrent en furieuse éruption, détruisant le moindre souffle de vie sur leur passage.
Passionné d'histoire, de politique, de sciences humaines et d'art, Vincent Corréa, à travers ce roman, a voulu rendre hommage à l'esprit chevaleresque des nobles peuples autochtones qui occupent des régions sujettes à des convoitises à cause des ressources naturelles de leur territoire. Il souhaite aussi apporter une note résolument optimiste à ces populations qui trop souvent s'affrontent sur des terrains où s'enlise leur raison et où leurs passions entrent en furieuse éruption, détruisant le moindre souffle de vie sur leur passage.

Dernière sortie
Le jardin des rois
Jilou est un jeune ingénieur français travaillant dans une grande entreprise d'aéronautique et spatiale européenne en région parisienne. Il vit avec le sentiment de devoir toujours porter cette étiquette de "français issu de l'immigration", comme on porterait une étoile distinctive sur un habit. Ses parents sont de ces nomades en transhumance qui, bien qu'affectionnant leur pays d'accueil et s'attelant aux besognes que celui-ci leur impose, ne tournent jamais le dos à leur terre natale.
Jilou a été de ces enfants qui sont nés et qui ont grandi entre les murs des cités. Ils ont baigné dans cette insouciante liberté qui les écartelait entre deux cultures et les marquait au fer rouge. Ils ont investi les rues pour s'y répandre comme des grappes de raisin dans un jardin et s'y sont sentis comme des rois. Des villages de leurs parents, ils n'éprouvaient ni l'appel, ni ne comprenaient leurs subtilités culturelles.
Mais l'enfermement dans leur quartier les rendait peu à peu à l'image de fauves en cage. Ils finissent par s'enrager et se révolter de tout et de rien.
Jilou a été de ces enfants qui sont nés et qui ont grandi entre les murs des cités. Ils ont baigné dans cette insouciante liberté qui les écartelait entre deux cultures et les marquait au fer rouge. Ils ont investi les rues pour s'y répandre comme des grappes de raisin dans un jardin et s'y sont sentis comme des rois. Des villages de leurs parents, ils n'éprouvaient ni l'appel, ni ne comprenaient leurs subtilités culturelles.
Mais l'enfermement dans leur quartier les rendait peu à peu à l'image de fauves en cage. Ils finissent par s'enrager et se révolter de tout et de rien.
Jilou est un jeune ingénieur français travaillant dans une grande entreprise d'aéronautique et spatiale européenne en région parisienne. Il vit avec le sentiment de devoir toujours porter cette étiquette de "français issu de l'immigration", comme on porterait une étoile distinctive sur un habit. Ses parents sont de ces nomades en transhumance qui, bien qu'affectionnant leur pays d'accueil et s'attelant aux besognes que celui-ci leur impose, ne tournent jamais le dos à leur terre natale.
Jilou a été de ces enfants qui sont nés et qui ont grandi entre les murs des cités. Ils ont baigné dans cette insouciante liberté qui les écartelait entre deux cultures et les marquait au fer rouge. Ils ont investi les rues pour s'y répandre comme des grappes de raisin dans un jardin et s'y sont sentis comme des rois. Des villages de leurs parents, ils n'éprouvaient ni l'appel, ni ne comprenaient leurs subtilités culturelles.
Mais l'enfermement dans leur quartier les rendait peu à peu à l'image de fauves en cage. Ils finissent par s'enrager et se révolter de tout et de rien.
Jilou a été de ces enfants qui sont nés et qui ont grandi entre les murs des cités. Ils ont baigné dans cette insouciante liberté qui les écartelait entre deux cultures et les marquait au fer rouge. Ils ont investi les rues pour s'y répandre comme des grappes de raisin dans un jardin et s'y sont sentis comme des rois. Des villages de leurs parents, ils n'éprouvaient ni l'appel, ni ne comprenaient leurs subtilités culturelles.
Mais l'enfermement dans leur quartier les rendait peu à peu à l'image de fauves en cage. Ils finissent par s'enrager et se révolter de tout et de rien.
Les livres de Vincent Corréa

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Les sentinelles de la reine Ou'Teikh Tome 2
Le cauchemar de la princesse d'Abyssinie
Vincent Corréa
Grand Format
25,00 €
