Un asile en Provence. La maison Saint-Paul à Saint-Rémy du XVIIIe au début du XXe siècle

Par : Evelyne Duret
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  • Nombre de pages202
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.312 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-320-0262-9
  • EAN9791032002629
  • Date de parution15/10/2020
  • CollectionLe temps de l'histoire
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

L'ouvrage retrace l'histoire de l'asile où Van Gogh a été interné. En 1807, à Saint-Rémy-de-Provence, le docteur Louis Mercurin achète l'ancien couvent Saint-Paul-de-Mausole. La petite maison de force tenue avant la Révolution par des moines devient un asile privé laïque où des malades mentaux des deux sexes sont séquestrés. Vincent van Gogh y a vécu un an, de mai 1889 à mai 1890, séjour au cours duquel il a réalisé une part importante de son oeuvre.
Une autre célébrité, Marie Lafarge, condamnée pour le meurtre de son mari, l'avait précédé. Albert Schweitzer les suivra. D'abord effroyables, les conditions de vie des pensionnaires s'améliorent timidement. Mais les préoccupations de rentabilité et les problèmes de pouvoir à la tête de l'établissement relèguent au second plan la question de la guérison, alors très aléatoire, de la folie. Au départ majoritairement masculin, l'asile s'organise peu à peu autour du groupe des religieuses et des malades femmes.
L'ouvrage retrace l'histoire de l'asile où Van Gogh a été interné. En 1807, à Saint-Rémy-de-Provence, le docteur Louis Mercurin achète l'ancien couvent Saint-Paul-de-Mausole. La petite maison de force tenue avant la Révolution par des moines devient un asile privé laïque où des malades mentaux des deux sexes sont séquestrés. Vincent van Gogh y a vécu un an, de mai 1889 à mai 1890, séjour au cours duquel il a réalisé une part importante de son oeuvre.
Une autre célébrité, Marie Lafarge, condamnée pour le meurtre de son mari, l'avait précédé. Albert Schweitzer les suivra. D'abord effroyables, les conditions de vie des pensionnaires s'améliorent timidement. Mais les préoccupations de rentabilité et les problèmes de pouvoir à la tête de l'établissement relèguent au second plan la question de la guérison, alors très aléatoire, de la folie. Au départ majoritairement masculin, l'asile s'organise peu à peu autour du groupe des religieuses et des malades femmes.