La littérature et la République. Conférences japonaises et antillaises

Par : Bruno Viard

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  • Nombre de pages171
  • PrésentationBroché
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-320-0079-3
  • EAN9791032000793
  • Date de parution12/12/2016
  • CollectionTextuelles
  • ÉditeurPU de Provence

Résumé

Malgré les appels de plus en plus pressants à un réarmement républicain de l'école française, l'enseignement de la littérature reste coupé de la vie, qu'on entende cette dernière à l'échelle de la personne ou à l'échelle du politique. Le présent volume tente de combler cette lacune en commençant à montrer pourquoi l'esprit républicain est justement la pierre de touche la plus pertinente dont nous disposions sur le marché des philosophies politiques depuis la chute du mur de Berlin et sous la mondialisation ultralibérale.
La République a des principes, dont les meilleures formulations, dans un sens social, seront recherchées chez Pierre Leroux et chez Marcel Mauss. Elle a aussi une histoire qui appelle à un retour à la diachronie. Contre un classicisme fixiste, Gustave Lanson avait déjà, il y a plus d'un siècle, fondé l'histoire littéraire. Bruno Viard propose d'élargir plus encore l'approche des textes en y faisant entrer une politique et une sociologie elles-mêmes fondées en psychologie.
Mais quelle politique ? Mais quelle sociologie ? Mais quelle psychologie ? La méthode mise au point par l'auteur à partir de l'esprit républicain d'une part, à l'aide d'une psychologie et même d'une psychanalyse fondée sur le besoin de reconnaissance d'autre part est appliquée à deux objets bien différents : la littérature romantique, la littérature antillaise.
Malgré les appels de plus en plus pressants à un réarmement républicain de l'école française, l'enseignement de la littérature reste coupé de la vie, qu'on entende cette dernière à l'échelle de la personne ou à l'échelle du politique. Le présent volume tente de combler cette lacune en commençant à montrer pourquoi l'esprit républicain est justement la pierre de touche la plus pertinente dont nous disposions sur le marché des philosophies politiques depuis la chute du mur de Berlin et sous la mondialisation ultralibérale.
La République a des principes, dont les meilleures formulations, dans un sens social, seront recherchées chez Pierre Leroux et chez Marcel Mauss. Elle a aussi une histoire qui appelle à un retour à la diachronie. Contre un classicisme fixiste, Gustave Lanson avait déjà, il y a plus d'un siècle, fondé l'histoire littéraire. Bruno Viard propose d'élargir plus encore l'approche des textes en y faisant entrer une politique et une sociologie elles-mêmes fondées en psychologie.
Mais quelle politique ? Mais quelle sociologie ? Mais quelle psychologie ? La méthode mise au point par l'auteur à partir de l'esprit républicain d'une part, à l'aide d'une psychologie et même d'une psychanalyse fondée sur le besoin de reconnaissance d'autre part est appliquée à deux objets bien différents : la littérature romantique, la littérature antillaise.
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