VENISE 1297-1797.. La république des castors

Par : Alessandro Fontana, Georges Saro

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  • Nombre de pages332
  • PrésentationBroché
  • Poids0.7 kg
  • Dimensions17,4 cm × 24,7 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-902126-29-8
  • EAN9782902126293
  • Date de parution01/01/1997
  • ÉditeurENS Fontenay St Cloud

Résumé

La République des castors : c'est ainsi que Montesquieu, d'après un témoignage de Pierre Daru, appelait Venise. Qu'entendait-il, au juste, par là ? La ténacité, certes, avec laquelle les habitants de la lagune avaient fait surgir de l'eau la " ville la plus triomphante " du monde, mais sa précarité aussi, qui pouvait à chaque instant la mettre en butte aux convoitises des hommes et à l'usure du temps. Ainsi, en un jour, le 12 mai 1797, la vague napoléonienne devait emporter la vieille République qui avait résisté pendant un millénaire à toutes les menaces, à tous les dangers. C'est autour de cet événement - situé comme " épisode " dans ses tenants et aboutissants immédiats, mais aussi dans une ligne de " tendance " séculaire -, et pour en commémorer l'anniversaire, que ce recueil est organisé. Il ne s'agit pas d'un livre, qui viendrait s'ajouter à l'immense bibliographie sur l'histoire de Venise, mais plutôt d'un guide pour ce qui, dans cette histoire, a fait et fait encore problème : le " mythe politique ", le statut des " citoyens ", les querelles théâtrales, les circonstances de la chute, les débats et controverses dont la République fut l'objet après 1797, et tout au long du XIXe siècle. Si deux légendes ont fleuri autour de Venise et de son histoire, une légende dorée et une légende noire, ce recueil, en déroulant un fil continu entre les deux, tente de montrer comment l'une ne fut que le reflet inversé de l'autre. C'est ce qui fait, au fond, la singularité de Venise dans l'histoire européenne.
La République des castors : c'est ainsi que Montesquieu, d'après un témoignage de Pierre Daru, appelait Venise. Qu'entendait-il, au juste, par là ? La ténacité, certes, avec laquelle les habitants de la lagune avaient fait surgir de l'eau la " ville la plus triomphante " du monde, mais sa précarité aussi, qui pouvait à chaque instant la mettre en butte aux convoitises des hommes et à l'usure du temps. Ainsi, en un jour, le 12 mai 1797, la vague napoléonienne devait emporter la vieille République qui avait résisté pendant un millénaire à toutes les menaces, à tous les dangers. C'est autour de cet événement - situé comme " épisode " dans ses tenants et aboutissants immédiats, mais aussi dans une ligne de " tendance " séculaire -, et pour en commémorer l'anniversaire, que ce recueil est organisé. Il ne s'agit pas d'un livre, qui viendrait s'ajouter à l'immense bibliographie sur l'histoire de Venise, mais plutôt d'un guide pour ce qui, dans cette histoire, a fait et fait encore problème : le " mythe politique ", le statut des " citoyens ", les querelles théâtrales, les circonstances de la chute, les débats et controverses dont la République fut l'objet après 1797, et tout au long du XIXe siècle. Si deux légendes ont fleuri autour de Venise et de son histoire, une légende dorée et une légende noire, ce recueil, en déroulant un fil continu entre les deux, tente de montrer comment l'une ne fut que le reflet inversé de l'autre. C'est ce qui fait, au fond, la singularité de Venise dans l'histoire européenne.
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