Histoire en marges. Les périphéries de l'histoire globale
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- Nombre de pages363
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.508 kg
- Dimensions14,6 cm × 21,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-86906-685-4
- EAN9782869066854
- Date de parution06/12/2018
- CollectionCivilisations étrangères
- ÉditeurPU François Rabelais
Résumé
Dés la deuxième moitié du XIXe siècle, dans un contexte d'intense ségrégation raciale aux Etats-Unis, des Africains-Américains écrivent l'histoire occultée de leur communauté pour l'inscrire au coeur du récit national et, au-delà, pour révéler la contribution de la diaspora noire à l'histoire mondiale. Cette histoire en marge questionne la discipline historique elle-même et affirme la nécessité d'écrire une histoire-monde.
Mais comment écrire une véritable histoire globale ? Ce livre entend démontrer qu'il faut non seulement donner droit de cité à celles et ceux qui ont trop souvent été exclus du récit historique ou ont été relégués à ses marges, mais aussi concevoir la marge (géographique, sociale, économique) comme un centre d'innovation épistémologique et politique, un lieu paradoxalement privilégié pour (re)penser et (ré)écrire l'histoire.
Depuis plus d'un siècle à travers le monde, des historiens et des historiennes placent la périphérie au centre et, par là même, déprovincialisent l'histoire. Ce sont ces travaux qui, faisant l'histoire des marges (sexuelles-genrées, impériales-coloniales, scientifiques-disciplinaires...), participent à l'écriture d'une histoire globale.
Mais comment écrire une véritable histoire globale ? Ce livre entend démontrer qu'il faut non seulement donner droit de cité à celles et ceux qui ont trop souvent été exclus du récit historique ou ont été relégués à ses marges, mais aussi concevoir la marge (géographique, sociale, économique) comme un centre d'innovation épistémologique et politique, un lieu paradoxalement privilégié pour (re)penser et (ré)écrire l'histoire.
Depuis plus d'un siècle à travers le monde, des historiens et des historiennes placent la périphérie au centre et, par là même, déprovincialisent l'histoire. Ce sont ces travaux qui, faisant l'histoire des marges (sexuelles-genrées, impériales-coloniales, scientifiques-disciplinaires...), participent à l'écriture d'une histoire globale.
Dés la deuxième moitié du XIXe siècle, dans un contexte d'intense ségrégation raciale aux Etats-Unis, des Africains-Américains écrivent l'histoire occultée de leur communauté pour l'inscrire au coeur du récit national et, au-delà, pour révéler la contribution de la diaspora noire à l'histoire mondiale. Cette histoire en marge questionne la discipline historique elle-même et affirme la nécessité d'écrire une histoire-monde.
Mais comment écrire une véritable histoire globale ? Ce livre entend démontrer qu'il faut non seulement donner droit de cité à celles et ceux qui ont trop souvent été exclus du récit historique ou ont été relégués à ses marges, mais aussi concevoir la marge (géographique, sociale, économique) comme un centre d'innovation épistémologique et politique, un lieu paradoxalement privilégié pour (re)penser et (ré)écrire l'histoire.
Depuis plus d'un siècle à travers le monde, des historiens et des historiennes placent la périphérie au centre et, par là même, déprovincialisent l'histoire. Ce sont ces travaux qui, faisant l'histoire des marges (sexuelles-genrées, impériales-coloniales, scientifiques-disciplinaires...), participent à l'écriture d'une histoire globale.
Mais comment écrire une véritable histoire globale ? Ce livre entend démontrer qu'il faut non seulement donner droit de cité à celles et ceux qui ont trop souvent été exclus du récit historique ou ont été relégués à ses marges, mais aussi concevoir la marge (géographique, sociale, économique) comme un centre d'innovation épistémologique et politique, un lieu paradoxalement privilégié pour (re)penser et (ré)écrire l'histoire.
Depuis plus d'un siècle à travers le monde, des historiens et des historiennes placent la périphérie au centre et, par là même, déprovincialisent l'histoire. Ce sont ces travaux qui, faisant l'histoire des marges (sexuelles-genrées, impériales-coloniales, scientifiques-disciplinaires...), participent à l'écriture d'une histoire globale.