Mon Cher Maitre. Lettres D'Ernest Vizetelly A Emile Zola 1891 - 1902
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- Nombre de pages401
- PrésentationBroché
- Poids0.65 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,0 cm × 2,2 cm
- ISBN2-7606-1834-X
- EAN9782760618343
- Date de parution15/10/2002
- CollectionEspace littéraire
- ÉditeurPU Montréal
Résumé
Ernest Alfred Vizetelly (1853-1922), traducteur et lui-même écrivain, fut l'indispensable relais entre le public de langue anglaise et l'œuvre d'Emile Zola. Entre 1891 et 1902, il traduisit presque toute la série des Rougon-Macquart, Les Trois Villes et Les Quatre Evangiles. Il publia également des entrevues avec l'écrivain dans divers journaux britanniques, protégea les droits d'auteur de Zola sur le marché américain et fut un allié fidèle lors de l'affaire Dreyfus, alors que le romancier était en exil en Angleterre. La correspondance jette une lumière nouvelle sur l'univers de la traduction littéraire au tournant du siècle. Elle éclaire également les modalités du commerce du livre, dans le sillage de la Convention de Berne, à une époque où il n'y avait que deux courriers par semaine entre Londres et New York, où la machine à écrire faisait son apparition, où le feuilleton dans les quotidiens était roi...
Ernest Alfred Vizetelly (1853-1922), traducteur et lui-même écrivain, fut l'indispensable relais entre le public de langue anglaise et l'œuvre d'Emile Zola. Entre 1891 et 1902, il traduisit presque toute la série des Rougon-Macquart, Les Trois Villes et Les Quatre Evangiles. Il publia également des entrevues avec l'écrivain dans divers journaux britanniques, protégea les droits d'auteur de Zola sur le marché américain et fut un allié fidèle lors de l'affaire Dreyfus, alors que le romancier était en exil en Angleterre. La correspondance jette une lumière nouvelle sur l'univers de la traduction littéraire au tournant du siècle. Elle éclaire également les modalités du commerce du livre, dans le sillage de la Convention de Berne, à une époque où il n'y avait que deux courriers par semaine entre Londres et New York, où la machine à écrire faisait son apparition, où le feuilleton dans les quotidiens était roi...

