Georges Laguerre, un Bel-Ami en politique (1858-1912)

Par : Julien Rycx
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  • Nombre de pages434
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.702 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-7574-3982-1
  • EAN9782757439821
  • Date de parution07/09/2023
  • CollectionHistoire et civilisations
  • ÉditeurPU du Septentrion
  • PréfacierJean-Marc Guislin

Résumé

Surgissant en quelques rares occasions des tréfonds du roman national, son nom, depuis longtemps oublié de tous, laisserait à penser que l'homme aurait traversé l'histoire dans le plus profond anonymat. Pourtant, de son vivant, Georges Laguerre (1858-1912) connut une réelle notoriété, tant politique que professionnelle. Jeune prodige du barreau de Paris, devenu à l'âge de vingt-cinq ans le plus jeune député de France et promis à un avenir politique radieux, "le prince de Paris" comme certains se plaisaient à le surnommer, se voyait déjà accéder aux plus hautes fonctions de l'Etat.
Néanmoins, "si la nature lui avait procuré de précieux dons, l'homme, par des fautes faciles à éviter, les aurait détruits et, par là même, refusé sa destinée" (Maurice Barrès). Sa carrière, aussi intense qu'éphémère, et largement perturbée par ses convictions boulangistes, ne symboliserait-elle pas l'abîme qui sépare "l'homme d'Etat" du simple "professionnel" de la politique ?
Surgissant en quelques rares occasions des tréfonds du roman national, son nom, depuis longtemps oublié de tous, laisserait à penser que l'homme aurait traversé l'histoire dans le plus profond anonymat. Pourtant, de son vivant, Georges Laguerre (1858-1912) connut une réelle notoriété, tant politique que professionnelle. Jeune prodige du barreau de Paris, devenu à l'âge de vingt-cinq ans le plus jeune député de France et promis à un avenir politique radieux, "le prince de Paris" comme certains se plaisaient à le surnommer, se voyait déjà accéder aux plus hautes fonctions de l'Etat.
Néanmoins, "si la nature lui avait procuré de précieux dons, l'homme, par des fautes faciles à éviter, les aurait détruits et, par là même, refusé sa destinée" (Maurice Barrès). Sa carrière, aussi intense qu'éphémère, et largement perturbée par ses convictions boulangistes, ne symboliserait-elle pas l'abîme qui sépare "l'homme d'Etat" du simple "professionnel" de la politique ?