Restaurer et bâtir. Viollet-le-Duc en Bourgogne
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- Nombre de pages553
- PrésentationBroché
- Poids0.876 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-7574-0438-6
- EAN9782757404386
- Date de parution05/04/2013
- CollectionArchitecture et urbanisme
- ÉditeurPU du Septentrion
- PréfacierBruno Decaris
Résumé
Viollet-le-Duc n'est guère abordé dans son travail de praticien. C'est cet aspect que ce volume propose de dévoiler à travers les monuments bourguignons restaurés et construits par l'architecte entre 1840 et 1879. L'enquête a été menée sur le fondement d'une riche documentation (lettres et rapports) destinée aux membres de la commission des Monuments historiques ou aux inspecteurs qui représentent l'architecte sur des chantiers aussi divers qu'Autun, Montréal, Saulieu, Sens ou Vézelay.
La lecture de ces textes publiés en annexe permet de pénétrer l'intimité des travaux et d'aborder les orientations données par Viollet-le-Duc dans le dessein anthropologique de reconstituer les gestes, les techniques, les traces et les marques du chantier médiéval. Ces documents dévoilent également les raisons qui ont présidé au choix des carrières et des essences de bois. Ils nous autorisent par ailleurs à réévaluer la place du métal (fer, plomb) et à apprécier l'emploi des matériaux modernes (fonte, zinc) comme celui de techniques novatrices (estampage, silicatisation, pigmentation de l'appareil).
Il est ainsi possible de cerner les critères archéologiques, économiques, architectoniques et esthétiques définis par Viollet-le-Duc pendant quarante ans de carrière et de remettre avec plus de justesse l'homme au coeur de son élément : le chantier.
La lecture de ces textes publiés en annexe permet de pénétrer l'intimité des travaux et d'aborder les orientations données par Viollet-le-Duc dans le dessein anthropologique de reconstituer les gestes, les techniques, les traces et les marques du chantier médiéval. Ces documents dévoilent également les raisons qui ont présidé au choix des carrières et des essences de bois. Ils nous autorisent par ailleurs à réévaluer la place du métal (fer, plomb) et à apprécier l'emploi des matériaux modernes (fonte, zinc) comme celui de techniques novatrices (estampage, silicatisation, pigmentation de l'appareil).
Il est ainsi possible de cerner les critères archéologiques, économiques, architectoniques et esthétiques définis par Viollet-le-Duc pendant quarante ans de carrière et de remettre avec plus de justesse l'homme au coeur de son élément : le chantier.
Viollet-le-Duc n'est guère abordé dans son travail de praticien. C'est cet aspect que ce volume propose de dévoiler à travers les monuments bourguignons restaurés et construits par l'architecte entre 1840 et 1879. L'enquête a été menée sur le fondement d'une riche documentation (lettres et rapports) destinée aux membres de la commission des Monuments historiques ou aux inspecteurs qui représentent l'architecte sur des chantiers aussi divers qu'Autun, Montréal, Saulieu, Sens ou Vézelay.
La lecture de ces textes publiés en annexe permet de pénétrer l'intimité des travaux et d'aborder les orientations données par Viollet-le-Duc dans le dessein anthropologique de reconstituer les gestes, les techniques, les traces et les marques du chantier médiéval. Ces documents dévoilent également les raisons qui ont présidé au choix des carrières et des essences de bois. Ils nous autorisent par ailleurs à réévaluer la place du métal (fer, plomb) et à apprécier l'emploi des matériaux modernes (fonte, zinc) comme celui de techniques novatrices (estampage, silicatisation, pigmentation de l'appareil).
Il est ainsi possible de cerner les critères archéologiques, économiques, architectoniques et esthétiques définis par Viollet-le-Duc pendant quarante ans de carrière et de remettre avec plus de justesse l'homme au coeur de son élément : le chantier.
La lecture de ces textes publiés en annexe permet de pénétrer l'intimité des travaux et d'aborder les orientations données par Viollet-le-Duc dans le dessein anthropologique de reconstituer les gestes, les techniques, les traces et les marques du chantier médiéval. Ces documents dévoilent également les raisons qui ont présidé au choix des carrières et des essences de bois. Ils nous autorisent par ailleurs à réévaluer la place du métal (fer, plomb) et à apprécier l'emploi des matériaux modernes (fonte, zinc) comme celui de techniques novatrices (estampage, silicatisation, pigmentation de l'appareil).
Il est ainsi possible de cerner les critères archéologiques, économiques, architectoniques et esthétiques définis par Viollet-le-Duc pendant quarante ans de carrière et de remettre avec plus de justesse l'homme au coeur de son élément : le chantier.