Cinéma et imaginaire topographique. Ford, Straub-Huillet, Teguia

Par : Fabien Meynier
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-37747-317-5
  • EAN9782377473175
  • Date de parution03/11/2022
  • CollectionCinéma, émergences-résurgences
  • ÉditeurUGA Editions

Résumé

Définir un "imaginaire topographique" dont les valeurs, les images et les perceptions règlent les descriptions de lieux au sein d'une multitude de productions culturelles : telle est l'ambition de cet ouvrage. A travers l'analyse de trois oeuvres considérées comme des jalons dans le développement de cet imaginaire, celles de John Ford, de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet et de Tariq Teguia, l'objectif est de saisir la façon dont les cinéastes s'inscrivent dans certaines traditions iconographiques liées aux représentations topographiques, tout en inventant de nouvelles images des lieux qu'ils enregistrent.
Ainsi, la prise en compte des lieux et de la longue durée dans les analyses de films permet de porter un regard nouveau sur des oeuvres déjà connues et de saisir leurs relations avec des films plus contemporains, à travers un problème d'image spécifique, celui de l'invention de lieux proprement filmiques.
Définir un "imaginaire topographique" dont les valeurs, les images et les perceptions règlent les descriptions de lieux au sein d'une multitude de productions culturelles : telle est l'ambition de cet ouvrage. A travers l'analyse de trois oeuvres considérées comme des jalons dans le développement de cet imaginaire, celles de John Ford, de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet et de Tariq Teguia, l'objectif est de saisir la façon dont les cinéastes s'inscrivent dans certaines traditions iconographiques liées aux représentations topographiques, tout en inventant de nouvelles images des lieux qu'ils enregistrent.
Ainsi, la prise en compte des lieux et de la longue durée dans les analyses de films permet de porter un regard nouveau sur des oeuvres déjà connues et de saisir leurs relations avec des films plus contemporains, à travers un problème d'image spécifique, celui de l'invention de lieux proprement filmiques.