Edgar Poe (1809-1849) commence à écrire en 1829. Considéré comme un poète maudit, ses écrits cauchemardesques et fantastiques sont aujourd'hui considérés comme précurseurs du surréalisme. C'est grâce aux traductions de Charles Baudelaire qu'il est connu en France.
Habitations imaginaires
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- Nombre de pages92
- FormatePub
- ISBN979-10-304-0451-7
- EAN9791030404517
- Date de parution08/09/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Allia
- TraducteurCharles Baudelaire
Résumé
Les trois nouvelles qui composent, sous une forme inédite, cet ouvrage - Le Domaine d'Arnheim, Le Cottage Landor et La Philosophie de l'ameublement - présentent une unité d'inspiration qui n'avait pas échappé à Baudelaire puisque, en 1863, celui-ci envisageait de les rassembler sous le titre Habitations imaginaires. Ce livre imaginaire existe enfin. Trois utopies forment ce triptyque. D'un texte à l'autre, le lecteur est introduit dans des domaines cachés, aux jardins luxuriants et ponctués de prouesses architecturales ou bien à l'intérieur d'une chambre anglaise.
La Nature semble imparfaite à Poe, il lui manque cette harmonie dans la composition qui fait l'attrait des toiles de Poussin ou de Claude Lorrain. La description minutieuse de la Nature est de type ambulatoire, où la ligne droite est exclue. La lecture devient une promenade, une dérive, la composition du texte se fait musicale. Si la beauté semble ne pouvoir être atteinte que de façon provisoire, des moments de plénitude esthétique existent dans chaque texte.
Le lecteur a l'impression de voler des instants de beauté à des mondes merveilleux, féeriques, auxquels il n'a d'ordinaire pas accès. Question centrale : celle de la fabrication du bonheur, indissociable d'une quête de beauté ; ces nouvelles comptent, de ce fait, au nombre des rares textes "apaisés" d'Edgar Poe.
La Nature semble imparfaite à Poe, il lui manque cette harmonie dans la composition qui fait l'attrait des toiles de Poussin ou de Claude Lorrain. La description minutieuse de la Nature est de type ambulatoire, où la ligne droite est exclue. La lecture devient une promenade, une dérive, la composition du texte se fait musicale. Si la beauté semble ne pouvoir être atteinte que de façon provisoire, des moments de plénitude esthétique existent dans chaque texte.
Le lecteur a l'impression de voler des instants de beauté à des mondes merveilleux, féeriques, auxquels il n'a d'ordinaire pas accès. Question centrale : celle de la fabrication du bonheur, indissociable d'une quête de beauté ; ces nouvelles comptent, de ce fait, au nombre des rares textes "apaisés" d'Edgar Poe.
Les trois nouvelles qui composent, sous une forme inédite, cet ouvrage - Le Domaine d'Arnheim, Le Cottage Landor et La Philosophie de l'ameublement - présentent une unité d'inspiration qui n'avait pas échappé à Baudelaire puisque, en 1863, celui-ci envisageait de les rassembler sous le titre Habitations imaginaires. Ce livre imaginaire existe enfin. Trois utopies forment ce triptyque. D'un texte à l'autre, le lecteur est introduit dans des domaines cachés, aux jardins luxuriants et ponctués de prouesses architecturales ou bien à l'intérieur d'une chambre anglaise.
La Nature semble imparfaite à Poe, il lui manque cette harmonie dans la composition qui fait l'attrait des toiles de Poussin ou de Claude Lorrain. La description minutieuse de la Nature est de type ambulatoire, où la ligne droite est exclue. La lecture devient une promenade, une dérive, la composition du texte se fait musicale. Si la beauté semble ne pouvoir être atteinte que de façon provisoire, des moments de plénitude esthétique existent dans chaque texte.
Le lecteur a l'impression de voler des instants de beauté à des mondes merveilleux, féeriques, auxquels il n'a d'ordinaire pas accès. Question centrale : celle de la fabrication du bonheur, indissociable d'une quête de beauté ; ces nouvelles comptent, de ce fait, au nombre des rares textes "apaisés" d'Edgar Poe.
La Nature semble imparfaite à Poe, il lui manque cette harmonie dans la composition qui fait l'attrait des toiles de Poussin ou de Claude Lorrain. La description minutieuse de la Nature est de type ambulatoire, où la ligne droite est exclue. La lecture devient une promenade, une dérive, la composition du texte se fait musicale. Si la beauté semble ne pouvoir être atteinte que de façon provisoire, des moments de plénitude esthétique existent dans chaque texte.
Le lecteur a l'impression de voler des instants de beauté à des mondes merveilleux, féeriques, auxquels il n'a d'ordinaire pas accès. Question centrale : celle de la fabrication du bonheur, indissociable d'une quête de beauté ; ces nouvelles comptent, de ce fait, au nombre des rares textes "apaisés" d'Edgar Poe.