Erhal (Dégage). La France face aux rebelles arabes
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- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- Poids0.215 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35472-138-1
- EAN9782354721381
- Date de parution15/09/2011
- ÉditeurGolias éditions
Résumé
Personne n'a rien vu venir. Personne. Absolument personne. Ce mot d'ordre, repris en choeur par tous les intellectuels médiatiques, dans toutes les déclinaisons des réseaux hertziens et numériques, a servi de justificatif à la cécité politique occidentale lors du " printemps arabe " de l'hiver 2011. Personne n'a rien vu venir, malgré quatorze tentatives d'attentat ourdis contre le président égyptien Hosni Moubarak en 32 ans de pouvoir, malgré les deux mille quatre vingt dix (2090) émeutes dénombrées à travers le Monde, en trois ans (2008-2011), dont plusieurs centaines en Egypte et en Tunisie, premières émeutes de la mondialisation, le terreau contestataire sur lequel germera la révolte des peuples arabes de l'hiver 2011.
Comme tétanisée par sa nostalgie de grandeur, la France a consacré l'essentiel de son énergie intellectuelle, en cette période de mutation, non pas tant à une étude discursive de son nouvel environnement international, mais à un combat d'arrière garde contre ses anciens combattants. Personne n'a rien vu venir, parce que personne ne voulait voir. L'Occident ne perçoit pas son environnement. Il le conçoit.
A l'aide de présupposés idéologiques, de prismes déformants, héritage de cinq siècles de domination absolue sur le reste de la planète, de son rôle prescripteur et de son monopole du récit médiatique.
Comme tétanisée par sa nostalgie de grandeur, la France a consacré l'essentiel de son énergie intellectuelle, en cette période de mutation, non pas tant à une étude discursive de son nouvel environnement international, mais à un combat d'arrière garde contre ses anciens combattants. Personne n'a rien vu venir, parce que personne ne voulait voir. L'Occident ne perçoit pas son environnement. Il le conçoit.
A l'aide de présupposés idéologiques, de prismes déformants, héritage de cinq siècles de domination absolue sur le reste de la planète, de son rôle prescripteur et de son monopole du récit médiatique.
Personne n'a rien vu venir. Personne. Absolument personne. Ce mot d'ordre, repris en choeur par tous les intellectuels médiatiques, dans toutes les déclinaisons des réseaux hertziens et numériques, a servi de justificatif à la cécité politique occidentale lors du " printemps arabe " de l'hiver 2011. Personne n'a rien vu venir, malgré quatorze tentatives d'attentat ourdis contre le président égyptien Hosni Moubarak en 32 ans de pouvoir, malgré les deux mille quatre vingt dix (2090) émeutes dénombrées à travers le Monde, en trois ans (2008-2011), dont plusieurs centaines en Egypte et en Tunisie, premières émeutes de la mondialisation, le terreau contestataire sur lequel germera la révolte des peuples arabes de l'hiver 2011.
Comme tétanisée par sa nostalgie de grandeur, la France a consacré l'essentiel de son énergie intellectuelle, en cette période de mutation, non pas tant à une étude discursive de son nouvel environnement international, mais à un combat d'arrière garde contre ses anciens combattants. Personne n'a rien vu venir, parce que personne ne voulait voir. L'Occident ne perçoit pas son environnement. Il le conçoit.
A l'aide de présupposés idéologiques, de prismes déformants, héritage de cinq siècles de domination absolue sur le reste de la planète, de son rôle prescripteur et de son monopole du récit médiatique.
Comme tétanisée par sa nostalgie de grandeur, la France a consacré l'essentiel de son énergie intellectuelle, en cette période de mutation, non pas tant à une étude discursive de son nouvel environnement international, mais à un combat d'arrière garde contre ses anciens combattants. Personne n'a rien vu venir, parce que personne ne voulait voir. L'Occident ne perçoit pas son environnement. Il le conçoit.
A l'aide de présupposés idéologiques, de prismes déformants, héritage de cinq siècles de domination absolue sur le reste de la planète, de son rôle prescripteur et de son monopole du récit médiatique.