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"Thérèse, docteur de l'Eglise, oui, et d'abord pour ceux qui veulent tenir debout, aujourd'hui encore, dans les nuits profondes de la foi. Elle connaît bien la solitude de l'être face à la mort qui vient. Sa gaieté n'exprime pas la joie spontanée d'un être qui éprouve la proximité de l'éternité bienheureuse et de la vision qu'il a toujours espérée. Pour elle, les accalmies ressemblent à des "éclairs", non à des "rayons".
Elle conjure que l'on prie pour elle, parce que, dit-elle, "c'est à perdre la raison" (Mgr Pierre Mamie)."
Thérèse Martin, la sainte de l'amour et de la "petite voie", a donc connu le mystère de la souffrance et l'obscurité de la foi. Cent ans après sa mort, son expérience aide chaque croyant dans sa confrontation à l'incrédulité de l'homme d'aujourd'hui.