Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le titre de cette comédie, de 1660, six mois après Les Précieuses ridicules, est déjà un programme. Tout le théâtre de Molière tient dans ces...
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Le titre de cette comédie, de 1660, six mois après Les Précieuses ridicules, est déjà un programme. Tout le théâtre de Molière tient dans ces trois mots. Sganarelle est un type comique qu'on retrouvera dans nombre de ses pièces, jusqu'à Dom Juan. Le cocu, c'est le personnage éternellement ridicule de la farce et du fabliau médiéval, berné et furieux de l'être... Molière fait d'une marionnette un caractère. La jalousie sera un des grands thèmes de son théâtre, et mène à Alceste. Le dernier mot du titre, l'imaginaire, désigne les illusions dont vivent les personnages, leurs égarements, la quête de l'authenticité et de la réalité sous les obsessions. L'essentiel est de rapprocher ces trois termes pour faire rire. On rit de la déformation, de la difformité : le masque déforme le corps, l'obsession déforme l'esprit, la passion torture l'âme.
Le cocu, c'est le personnage éternellement ridicule de la farce et du fabliau médiéval, berné et furieux de l'être... Molière fait d'une marionnette un caractère.