Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'Europe n'a pas attendu le XVIII siècle pour découvrir l'Extrême-Orient et ses arts. Soieries, laques, et porcelaines étaient importés en grand...
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L'Europe n'a pas attendu le XVIII siècle pour découvrir l'Extrême-Orient et ses arts. Soieries, laques, et porcelaines étaient importés en grand nombre depuis le XVIe siècle. Au XVIIe, les vernisseurs mettent au point des procédés permettant d'obtenir des objets comparables aux laques.
On s'emploie à donner à la faïence, autant que faire se peut, un aspect identique à celui de la porcelaine. Au début du XVIIIe siècle, un phénomène nouveau se produit. Les Européens cherchent toujours à percer les secrets de l'Extrême-Orient, mais ne se bornent plus à les imiter. Les œuvres venues d'Orient stimulent l'imagination des artistes et des artisans. Des Chinois de fantaisie s'installe sur les tables et les consoles ; leurs silhouettes décorent la panse des vase, leurs cérémonies sont reproduites sur les tapisseries et les décors peints, des pavillons chinois s'installent dans les jardins... C'est à l'exploration de ce phénomène que nous invite cet ouvrage, très, largement illustré des œuvres de Boucher, Pillement, des manufactures de Rouen, de Saint-Cloud, de Meissen..., et auquel les spécialistes de la question prêtent leur plume.