Les bateaux ivres. L'odyssée des migrants en Méditerranée
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- Nombre de pages278
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-7096-4578-2
- EAN9782709645782
- Date de parution30/09/2015
- ÉditeurJC Lattès
Résumé
Trente-cinq ans que je cours le monde et ses tourments. La première fois que j'ai vu l'exode d'une population, c'était les boat people qui fuyaient le régime d'Hanoï. Mais ces migrants étaient des réfugiés politiques et le monde les regardait d'un oeil bienveillant. Avec le temps, l'opinion s'est lassée. J'ai suivi les barques qui affrontaient le détroit de Gibraltar, les pirogues de la mort pour les Canaries, les zodiacs de Turquie vers l'île grecque de Lesbos, le flot des épaves vers le canal de Sicile.
Jusqu'à Lampedusa. J'ai suivi le sillage de ces bateaux ivres, sur terre et sur mer. Je voulais faire le récit de ces hommes et femmes qui ne voient qu'une seule issue : partir. Nous, Européens, hésitons toujours entre compassion et répression. Pendant ce temps, ils partent. Avec la force des désespérés ou des conquérants. Et rien ne les arrêtera.
Jusqu'à Lampedusa. J'ai suivi le sillage de ces bateaux ivres, sur terre et sur mer. Je voulais faire le récit de ces hommes et femmes qui ne voient qu'une seule issue : partir. Nous, Européens, hésitons toujours entre compassion et répression. Pendant ce temps, ils partent. Avec la force des désespérés ou des conquérants. Et rien ne les arrêtera.
Trente-cinq ans que je cours le monde et ses tourments. La première fois que j'ai vu l'exode d'une population, c'était les boat people qui fuyaient le régime d'Hanoï. Mais ces migrants étaient des réfugiés politiques et le monde les regardait d'un oeil bienveillant. Avec le temps, l'opinion s'est lassée. J'ai suivi les barques qui affrontaient le détroit de Gibraltar, les pirogues de la mort pour les Canaries, les zodiacs de Turquie vers l'île grecque de Lesbos, le flot des épaves vers le canal de Sicile.
Jusqu'à Lampedusa. J'ai suivi le sillage de ces bateaux ivres, sur terre et sur mer. Je voulais faire le récit de ces hommes et femmes qui ne voient qu'une seule issue : partir. Nous, Européens, hésitons toujours entre compassion et répression. Pendant ce temps, ils partent. Avec la force des désespérés ou des conquérants. Et rien ne les arrêtera.
Jusqu'à Lampedusa. J'ai suivi le sillage de ces bateaux ivres, sur terre et sur mer. Je voulais faire le récit de ces hommes et femmes qui ne voient qu'une seule issue : partir. Nous, Européens, hésitons toujours entre compassion et répression. Pendant ce temps, ils partent. Avec la force des désespérés ou des conquérants. Et rien ne les arrêtera.














