Le Papou Blanc. Naufrage Volontaire Chez Les Sauvages De Nouvelle-Guinee 1871-1883

Par : Nikolaï Mikloukho-Maklaï

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  • Nombre de pages475
  • FormatPoche
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,7 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-264-02138-1
  • EAN9782264021380
  • Date de parution01/09/1995
  • Collection10/18
  • Éditeur10/18

Résumé

" Plus d'un siècle ! C'est le temps qu'il aura fallu pour que les lecteurs français puissent enfin découvrir l'œuvre de ce drôle de Robinson russe et anthropologue visionnaire qui enthousiasma Tolstoï. Le 27 septembre 1871, Nikolaï Mikloukho-Maklaï (1846-1888) débarque sur une plage de Nouvelle-Guinée avec pour toute escorte un marin suédois et un cuisinier polynésien. Des redoutables habitants de Papouasie, on ne connaît alors à peu près rien, hormis leur penchant supposé pour le cannibalisme. De ces " sauvages ", Maklaï ne se contente pas de relever les mensurations, ou de constater que les cheveux ne poussent pas par touffes... Il admire leur sens du don, s'émerveille de leur habileté à fabriquer d'élégantes pirogues et note dans son journal : " Petit à petit, je deviens papou. " Avant de mourir, l'ami des aborigènes avait réclamé pour eux un statut d'autonomie sous protectorat international afin que soient préservées les valeurs traditionnelles de leur société. Il avait, là aussi, un siècle d'avance. " Carole Vantroys Lire
" Plus d'un siècle ! C'est le temps qu'il aura fallu pour que les lecteurs français puissent enfin découvrir l'œuvre de ce drôle de Robinson russe et anthropologue visionnaire qui enthousiasma Tolstoï. Le 27 septembre 1871, Nikolaï Mikloukho-Maklaï (1846-1888) débarque sur une plage de Nouvelle-Guinée avec pour toute escorte un marin suédois et un cuisinier polynésien. Des redoutables habitants de Papouasie, on ne connaît alors à peu près rien, hormis leur penchant supposé pour le cannibalisme. De ces " sauvages ", Maklaï ne se contente pas de relever les mensurations, ou de constater que les cheveux ne poussent pas par touffes... Il admire leur sens du don, s'émerveille de leur habileté à fabriquer d'élégantes pirogues et note dans son journal : " Petit à petit, je deviens papou. " Avant de mourir, l'ami des aborigènes avait réclamé pour eux un statut d'autonomie sous protectorat international afin que soient préservées les valeurs traditionnelles de leur société. Il avait, là aussi, un siècle d'avance. " Carole Vantroys Lire