Le mot qui arrêta la guerre

Par : Audrey Alwett, Ein Lee

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages48
  • PrésentationBroché
  • FormatAlbum
  • Poids0.59 kg
  • Dimensions26,0 cm × 28,2 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-918857-82-2
  • EAN9782918857822
  • Date de parution26/03/2015
  • CollectionSoleil flottant
  • ÉditeurNobi Nobi

Résumé

Au petit matin, quand le soleil étend ses rayons, que les grues s'envolent vers le ciel et que les carpes se réveillent, le lac Yamagata est le plus bel endroit de la Terre. C'est là que Seï y trace ses plus jolies calligraphies, c'est là que son frère Shigeru y fait ses plus vivants origamis. Mais voilà que le daimyô déclare la guerre à son voisin. Tout homme âgé d'au moins seize ans sera contraint de se battre sous sa bannière.
Shigeru devra partir et peut-être mourir. Le jeune Seï va alors tout tenter pour convaincre le daimyô de renoncer à cette guerre. En trois jours, il peindra trois calligraphies. Trois mots pour arrêter la guerre, trois mots pour sauver son frère. Le mot qui arrêta la guerre est une véritable ode à la paix et à la liberté d'expression. Ecrit il y a plusieurs années déjà, le texte de la talentueuse Audrey Alwett (Légendes de Troy, SinBad) résonne évidemment de manière encore plus prononcé aujourd'hui.
Cinq ans après Princesse Pivoine, Ein Lee réussit le tour de force de sublimer cette histoire intemporelle grâce à ses dessins éclatants de sincérité. Une oeuvre puissante et majeure à lire par tous.
Au petit matin, quand le soleil étend ses rayons, que les grues s'envolent vers le ciel et que les carpes se réveillent, le lac Yamagata est le plus bel endroit de la Terre. C'est là que Seï y trace ses plus jolies calligraphies, c'est là que son frère Shigeru y fait ses plus vivants origamis. Mais voilà que le daimyô déclare la guerre à son voisin. Tout homme âgé d'au moins seize ans sera contraint de se battre sous sa bannière.
Shigeru devra partir et peut-être mourir. Le jeune Seï va alors tout tenter pour convaincre le daimyô de renoncer à cette guerre. En trois jours, il peindra trois calligraphies. Trois mots pour arrêter la guerre, trois mots pour sauver son frère. Le mot qui arrêta la guerre est une véritable ode à la paix et à la liberté d'expression. Ecrit il y a plusieurs années déjà, le texte de la talentueuse Audrey Alwett (Légendes de Troy, SinBad) résonne évidemment de manière encore plus prononcé aujourd'hui.
Cinq ans après Princesse Pivoine, Ein Lee réussit le tour de force de sublimer cette histoire intemporelle grâce à ses dessins éclatants de sincérité. Une oeuvre puissante et majeure à lire par tous.