La violence en Abyme. Essai de psychocriminologie
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- Nombre de pages389
- PrésentationBroché
- Poids0.475 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,5 cm × 2,4 cm
- ISBN2-13-054658-7
- EAN9782130546580
- Date de parution09/02/2005
- CollectionLe fil rouge
- ÉditeurPUF
- Directeur de publicationClaude Balier
Résumé
La violence destructrice, tel est notre sujet. Il est
habituel de la sanctionner, d'exclure son auteur, d'en faire un monstre. Que peut dire le psychanalyste, au-delà de la reconnaissance d'une pulsion de mort ? La violence est aussi en nous. Pour la saisir, il faut vivre au premier degré, accompagner le monstre, ainsi l'intégrer parmi nous. Mais sans quitter un deuxième degré, celui qui nous la fait percevoir à distance, cette fois chargée de sens lui donnant un contenant.
Telle est notre vision... en abyme. À partir d'un vécu immédiat chargé de quelque angoisse et souffrance, de quelle nature sont faits les mouvements intérieurs, qui nous portent au recul : images fantasmées, affects, pensées, références à d'autres, pairs ou anciens, et aussi vécus corporels, tensions, réveils de plaisirs secrets ? C'est aussi insaisissable que les processus tertiaires dont parle Green, capables d'établir un lien entre primaire et secondaire.
Le " miroir en abyme ", belle expression de Lebovici : tel j'ai eu le sentiment d'être, parfois dans le regard du criminel.
Telle est notre vision... en abyme. À partir d'un vécu immédiat chargé de quelque angoisse et souffrance, de quelle nature sont faits les mouvements intérieurs, qui nous portent au recul : images fantasmées, affects, pensées, références à d'autres, pairs ou anciens, et aussi vécus corporels, tensions, réveils de plaisirs secrets ? C'est aussi insaisissable que les processus tertiaires dont parle Green, capables d'établir un lien entre primaire et secondaire.
Le " miroir en abyme ", belle expression de Lebovici : tel j'ai eu le sentiment d'être, parfois dans le regard du criminel.
La violence destructrice, tel est notre sujet. Il est
habituel de la sanctionner, d'exclure son auteur, d'en faire un monstre. Que peut dire le psychanalyste, au-delà de la reconnaissance d'une pulsion de mort ? La violence est aussi en nous. Pour la saisir, il faut vivre au premier degré, accompagner le monstre, ainsi l'intégrer parmi nous. Mais sans quitter un deuxième degré, celui qui nous la fait percevoir à distance, cette fois chargée de sens lui donnant un contenant.
Telle est notre vision... en abyme. À partir d'un vécu immédiat chargé de quelque angoisse et souffrance, de quelle nature sont faits les mouvements intérieurs, qui nous portent au recul : images fantasmées, affects, pensées, références à d'autres, pairs ou anciens, et aussi vécus corporels, tensions, réveils de plaisirs secrets ? C'est aussi insaisissable que les processus tertiaires dont parle Green, capables d'établir un lien entre primaire et secondaire.
Le " miroir en abyme ", belle expression de Lebovici : tel j'ai eu le sentiment d'être, parfois dans le regard du criminel.
Telle est notre vision... en abyme. À partir d'un vécu immédiat chargé de quelque angoisse et souffrance, de quelle nature sont faits les mouvements intérieurs, qui nous portent au recul : images fantasmées, affects, pensées, références à d'autres, pairs ou anciens, et aussi vécus corporels, tensions, réveils de plaisirs secrets ? C'est aussi insaisissable que les processus tertiaires dont parle Green, capables d'établir un lien entre primaire et secondaire.
Le " miroir en abyme ", belle expression de Lebovici : tel j'ai eu le sentiment d'être, parfois dans le regard du criminel.

