La Laisse

Par : Jane Delynn

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages238
  • PrésentationBroché
  • Poids0.285 kg
  • Dimensions13,4 cm × 21,2 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-84628-075-4
  • EAN9782846280754
  • Date de parution17/02/2004
  • ÉditeurBlanche (editions)
  • TraducteurChristian Séruzier

Résumé

A la sortie de La Laisse aux Etats-Unis, Bret Easton Ellis écrit : La Laisse est un témoignage palpitant, fort, fascinant, dont la complexité morale atteint les sommets de la littérature hors-norme, celle qui transgresse les tabous. Jane Delynn couvre des territoires que peu de romans osent aborder. Son honnêteté psychologique est dérangeante, presque autant que sa candeur et son érotisme explicite. Avec son intelligence et son talent provocateur, l'auteur recoupe avec les chemins captivants et l'effrayante simplicité de Kafka. L'histoire de Chris est pathétique et captivante. Pour traquer l'ennui qui guette les bourgeoises bohèmes, elle expie des crimes imaginaires en se livrant à des femmes bourreaux... Roman de la faiblesse de la chair, du vertige et du vide, du désir qui ne sera jamais comblé. Ecartelée entre désir et souffrance, elle choisit finalement de ne pas choisir. Parce qu'elle se croit chienne, elle veut le devenir, mais lorsqu'elle le devient, tout s'est dissout autour d'elle : la régression est totale. Il n'y a plus de sale, plus de propre, plus d'amour, d'amour propre, plus de mots, que la mort au monde. Le livre dérange, fascine, amuse, apprend, comme un roman philosophique.
A la sortie de La Laisse aux Etats-Unis, Bret Easton Ellis écrit : La Laisse est un témoignage palpitant, fort, fascinant, dont la complexité morale atteint les sommets de la littérature hors-norme, celle qui transgresse les tabous. Jane Delynn couvre des territoires que peu de romans osent aborder. Son honnêteté psychologique est dérangeante, presque autant que sa candeur et son érotisme explicite. Avec son intelligence et son talent provocateur, l'auteur recoupe avec les chemins captivants et l'effrayante simplicité de Kafka. L'histoire de Chris est pathétique et captivante. Pour traquer l'ennui qui guette les bourgeoises bohèmes, elle expie des crimes imaginaires en se livrant à des femmes bourreaux... Roman de la faiblesse de la chair, du vertige et du vide, du désir qui ne sera jamais comblé. Ecartelée entre désir et souffrance, elle choisit finalement de ne pas choisir. Parce qu'elle se croit chienne, elle veut le devenir, mais lorsqu'elle le devient, tout s'est dissout autour d'elle : la régression est totale. Il n'y a plus de sale, plus de propre, plus d'amour, d'amour propre, plus de mots, que la mort au monde. Le livre dérange, fascine, amuse, apprend, comme un roman philosophique.