L'été du grand bonheur
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- Nombre de pages346
- PrésentationBroché
- Poids0.48 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,6 cm
- ISBN2-258-05239-4
- EAN9782258052390
- Date de parution02/03/2000
- CollectionTerres de France
- ÉditeurPresses de la Cité
Résumé
1936.
Les congés payés ! Pour la première fois de leur vie, des millions de Français partent en vacances ! Dans la joyeuse ambiance d'une auberge de jeunesse, Loulette rencontre Benoîte. Tout sépare la fille du chômeur toulousain de la riche héritière fuyant, sous une fausse identité, les contraintes de son milieu social. L'amitié naît pourtant, créatrice d'aventures, d'affrontements, de contradictions qui pourraient bien être celles de l'époque : au bonheur de la plage et des marches en forêt se mêlent les angoisses du chômage, du fascisme montant, de la guerre qui se prépare. A la peinture pudique d'une adolescente s'éveillant au plaisir, le roman ajoute le tableau le plus authentique, le plus coloré d'un temps dont il nous révèle bien des traits. C'est l'art de Coulonges d'associer fiction et réalité. Sourire et larmes. Il est capable de nous émouvoir et, dans le même temps, de nous faire chanter avec ses héros : " Tout va très bien, madame la Marquise ".
Les congés payés ! Pour la première fois de leur vie, des millions de Français partent en vacances ! Dans la joyeuse ambiance d'une auberge de jeunesse, Loulette rencontre Benoîte. Tout sépare la fille du chômeur toulousain de la riche héritière fuyant, sous une fausse identité, les contraintes de son milieu social. L'amitié naît pourtant, créatrice d'aventures, d'affrontements, de contradictions qui pourraient bien être celles de l'époque : au bonheur de la plage et des marches en forêt se mêlent les angoisses du chômage, du fascisme montant, de la guerre qui se prépare. A la peinture pudique d'une adolescente s'éveillant au plaisir, le roman ajoute le tableau le plus authentique, le plus coloré d'un temps dont il nous révèle bien des traits. C'est l'art de Coulonges d'associer fiction et réalité. Sourire et larmes. Il est capable de nous émouvoir et, dans le même temps, de nous faire chanter avec ses héros : " Tout va très bien, madame la Marquise ".
1936.
Les congés payés ! Pour la première fois de leur vie, des millions de Français partent en vacances ! Dans la joyeuse ambiance d'une auberge de jeunesse, Loulette rencontre Benoîte. Tout sépare la fille du chômeur toulousain de la riche héritière fuyant, sous une fausse identité, les contraintes de son milieu social. L'amitié naît pourtant, créatrice d'aventures, d'affrontements, de contradictions qui pourraient bien être celles de l'époque : au bonheur de la plage et des marches en forêt se mêlent les angoisses du chômage, du fascisme montant, de la guerre qui se prépare. A la peinture pudique d'une adolescente s'éveillant au plaisir, le roman ajoute le tableau le plus authentique, le plus coloré d'un temps dont il nous révèle bien des traits. C'est l'art de Coulonges d'associer fiction et réalité. Sourire et larmes. Il est capable de nous émouvoir et, dans le même temps, de nous faire chanter avec ses héros : " Tout va très bien, madame la Marquise ".
Les congés payés ! Pour la première fois de leur vie, des millions de Français partent en vacances ! Dans la joyeuse ambiance d'une auberge de jeunesse, Loulette rencontre Benoîte. Tout sépare la fille du chômeur toulousain de la riche héritière fuyant, sous une fausse identité, les contraintes de son milieu social. L'amitié naît pourtant, créatrice d'aventures, d'affrontements, de contradictions qui pourraient bien être celles de l'époque : au bonheur de la plage et des marches en forêt se mêlent les angoisses du chômage, du fascisme montant, de la guerre qui se prépare. A la peinture pudique d'une adolescente s'éveillant au plaisir, le roman ajoute le tableau le plus authentique, le plus coloré d'un temps dont il nous révèle bien des traits. C'est l'art de Coulonges d'associer fiction et réalité. Sourire et larmes. Il est capable de nous émouvoir et, dans le même temps, de nous faire chanter avec ses héros : " Tout va très bien, madame la Marquise ".