Ils ont acheté la presse. Pour comprendre enfin pourquoi elle se tait, étouffe ou encense
2e édition revue et augmentée
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- Nombre de pages419
- PrésentationBroché
- Poids0.505 kg
- Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 3,6 cm
- ISBN978-2-86477-271-2
- EAN9782864772712
- Date de parution13/01/2015
- ÉditeurPicollec
Résumé
A force d'être si proche du pouvoir, la presse n'est plus un contre-pouvoir crédible. Gavée de subventions publiques et de privilèges fiscaux, la presse est épargnée par l'effort de solidarité imposé à tous. Un favoritisme d'Etat (les contribuables versent plus de 5000euros de subvention par mois et par journaliste) dont la presse bien sûr ne parle pas, mais dont ce livre dresse un bilan alarmant.
Vigilante sur toute proximité avec les sarkozystes, la presse a accepté de devenir capitalistiquement proche du pouvoir socialiste, s'étant vendue sans états d'âme à des financiers (il est vrai qu'ils s'affichent "de gauche"). En étudiant notamment de près la reprise du Monde par le trio Pigasse-Bergé-Niel, et en revenant sur la gestion du Nouvel Observateur par Denis Olivennes, avec aussi un éclairage sur Médiapart ou le Huffington Post d'Anne Sinclair, on découvre avec effarement les coulisses d'une presse embourbée dans ses contradictions, ses compromissions, ses oeillères et ses mensonges.
La presse a renoncé à être le quatrième pouvoir, pour mieux se fondre dans le cinquième pouvoir : celui de vastes réseaux mondialisés, mêlant hommes (l'affaires, financiers, médias et politiques, agissant et décidant en toute discrétion, parallèlement aux structures démocratiques devenues impuissantes. Une enquête fouillée de plus de deux ans, un voyage édifiant et instructif sans parti pris, sans tabous, sans langue de bois dans les coulisses, où l'on croise les membres du Siècle (le plus grand groupe d'influence français), les Young Leaders Arnaud Montebourg et Audrey Pulvar, le Bilderberger Manuel Valls, le German Marshall Fund, financeur américain de Terra Nova, organisateur des Primaires du Parti Socialiste, et où l'on découvre les stupéfiantes conditions de nomination de l'inconnu Herman Van Rompuy à la présidence du Conseil européen.
Ne reste-t-il qu'Internet pour disposer d'une information non formatée, plurielle et de vrais débats contradictoires loin de tous ces conflits d'intérêts et de ces magouilles devenus répulsifs aux lecteurs ?
Vigilante sur toute proximité avec les sarkozystes, la presse a accepté de devenir capitalistiquement proche du pouvoir socialiste, s'étant vendue sans états d'âme à des financiers (il est vrai qu'ils s'affichent "de gauche"). En étudiant notamment de près la reprise du Monde par le trio Pigasse-Bergé-Niel, et en revenant sur la gestion du Nouvel Observateur par Denis Olivennes, avec aussi un éclairage sur Médiapart ou le Huffington Post d'Anne Sinclair, on découvre avec effarement les coulisses d'une presse embourbée dans ses contradictions, ses compromissions, ses oeillères et ses mensonges.
La presse a renoncé à être le quatrième pouvoir, pour mieux se fondre dans le cinquième pouvoir : celui de vastes réseaux mondialisés, mêlant hommes (l'affaires, financiers, médias et politiques, agissant et décidant en toute discrétion, parallèlement aux structures démocratiques devenues impuissantes. Une enquête fouillée de plus de deux ans, un voyage édifiant et instructif sans parti pris, sans tabous, sans langue de bois dans les coulisses, où l'on croise les membres du Siècle (le plus grand groupe d'influence français), les Young Leaders Arnaud Montebourg et Audrey Pulvar, le Bilderberger Manuel Valls, le German Marshall Fund, financeur américain de Terra Nova, organisateur des Primaires du Parti Socialiste, et où l'on découvre les stupéfiantes conditions de nomination de l'inconnu Herman Van Rompuy à la présidence du Conseil européen.
Ne reste-t-il qu'Internet pour disposer d'une information non formatée, plurielle et de vrais débats contradictoires loin de tous ces conflits d'intérêts et de ces magouilles devenus répulsifs aux lecteurs ?
A force d'être si proche du pouvoir, la presse n'est plus un contre-pouvoir crédible. Gavée de subventions publiques et de privilèges fiscaux, la presse est épargnée par l'effort de solidarité imposé à tous. Un favoritisme d'Etat (les contribuables versent plus de 5000euros de subvention par mois et par journaliste) dont la presse bien sûr ne parle pas, mais dont ce livre dresse un bilan alarmant.
Vigilante sur toute proximité avec les sarkozystes, la presse a accepté de devenir capitalistiquement proche du pouvoir socialiste, s'étant vendue sans états d'âme à des financiers (il est vrai qu'ils s'affichent "de gauche"). En étudiant notamment de près la reprise du Monde par le trio Pigasse-Bergé-Niel, et en revenant sur la gestion du Nouvel Observateur par Denis Olivennes, avec aussi un éclairage sur Médiapart ou le Huffington Post d'Anne Sinclair, on découvre avec effarement les coulisses d'une presse embourbée dans ses contradictions, ses compromissions, ses oeillères et ses mensonges.
La presse a renoncé à être le quatrième pouvoir, pour mieux se fondre dans le cinquième pouvoir : celui de vastes réseaux mondialisés, mêlant hommes (l'affaires, financiers, médias et politiques, agissant et décidant en toute discrétion, parallèlement aux structures démocratiques devenues impuissantes. Une enquête fouillée de plus de deux ans, un voyage édifiant et instructif sans parti pris, sans tabous, sans langue de bois dans les coulisses, où l'on croise les membres du Siècle (le plus grand groupe d'influence français), les Young Leaders Arnaud Montebourg et Audrey Pulvar, le Bilderberger Manuel Valls, le German Marshall Fund, financeur américain de Terra Nova, organisateur des Primaires du Parti Socialiste, et où l'on découvre les stupéfiantes conditions de nomination de l'inconnu Herman Van Rompuy à la présidence du Conseil européen.
Ne reste-t-il qu'Internet pour disposer d'une information non formatée, plurielle et de vrais débats contradictoires loin de tous ces conflits d'intérêts et de ces magouilles devenus répulsifs aux lecteurs ?
Vigilante sur toute proximité avec les sarkozystes, la presse a accepté de devenir capitalistiquement proche du pouvoir socialiste, s'étant vendue sans états d'âme à des financiers (il est vrai qu'ils s'affichent "de gauche"). En étudiant notamment de près la reprise du Monde par le trio Pigasse-Bergé-Niel, et en revenant sur la gestion du Nouvel Observateur par Denis Olivennes, avec aussi un éclairage sur Médiapart ou le Huffington Post d'Anne Sinclair, on découvre avec effarement les coulisses d'une presse embourbée dans ses contradictions, ses compromissions, ses oeillères et ses mensonges.
La presse a renoncé à être le quatrième pouvoir, pour mieux se fondre dans le cinquième pouvoir : celui de vastes réseaux mondialisés, mêlant hommes (l'affaires, financiers, médias et politiques, agissant et décidant en toute discrétion, parallèlement aux structures démocratiques devenues impuissantes. Une enquête fouillée de plus de deux ans, un voyage édifiant et instructif sans parti pris, sans tabous, sans langue de bois dans les coulisses, où l'on croise les membres du Siècle (le plus grand groupe d'influence français), les Young Leaders Arnaud Montebourg et Audrey Pulvar, le Bilderberger Manuel Valls, le German Marshall Fund, financeur américain de Terra Nova, organisateur des Primaires du Parti Socialiste, et où l'on découvre les stupéfiantes conditions de nomination de l'inconnu Herman Van Rompuy à la présidence du Conseil européen.
Ne reste-t-il qu'Internet pour disposer d'une information non formatée, plurielle et de vrais débats contradictoires loin de tous ces conflits d'intérêts et de ces magouilles devenus répulsifs aux lecteurs ?