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"Tu m'appelles en arrivant ?" C'était la dernière demande de
Patrick à sa mère, Dédée. Et la mort ne les a pas séparés.
Dehors, il fait beau. Mais Patrick écrit. Un papillon se pose
non loin : c'est elle. Sa sentinelle. Et le dialogue reprend,
ininterrompu. Les deuils, les copains, les rencontres, le
DARD, les 3synchronicités", les souvenirs de bord de mer. La
vie. Lily... Quand il se met à table, le "croisement de Don
Quichotte et du Petit Gibus" n'a pas peur d'y mettre les
coudes...
Et du coeur !
Après la mort de sa maman
Dans se livre il commence une nouvelle vie sans elle. Il laisse alors une belle place à ses enfants, sa femme.
Il entretien alors un dialogue avec sa maman.
C'est beau par ce qu'elle à tellement été une bonne mère qu'il devine ce qu'elle aurait dit.
Mais ce livre est moins émouvant que le précédent ou elle s'éteint. Cela se comprend.
Il balance brièvement sur le showbiz mais sans donné de nom. Et il cite ceux qui ont été des amis de toujours.
Là aussi, il n'est pas là pour donner des leçons. Il écrit par ce que cela lui fait du bien.